Une suite tout aussi fascinante que le tome précédent : “Aztèques, Saison 2 : La voie du Papillon” d’Eric Costa, disponible sur Amazon.
Le pitch : Si Ameyal n’a pas réussi à s’échapper du Harem, la jeune fille reste toujours déterminée à recouvrer la liberté pour se venger, elle et les siens. Pour parvenir à ses fins, son ambition est désormais d’intégrer l’école du harem et devenir concubine malgré tous les périls que cela implique…
Venant d’achever ma lecture du tome 1, je ne pouvais décidément pas rester sur pareille fin alors même que j’ai le tome 2 sous la main… C’est donc en toute logique que j’ai enchainé les deux, trop heureuse de retrouver Ameyal pour de nouvelles aventures, tout aussi captivantes et périlleuses…
En effet l’auteur met toujours autant de coeur à l’ouvrage pour nous offrir une immersion totale et complète au sein du Harem et ses machinations. Nous délivrant nombre d’informations sur la civilisation des Aztèques par la même occasion, nul doute que l’auteur s’est adonné à un travail de recherche approfondi pour nous délivrer une intrigue d’une incroyable crédibilité. Mais l’immersion est telle que le lecteur vit pleinement l’histoire, visualise les scènes comme s’il y était, ressent les émotions des personnages comme si elles étaient siennes. Aucun répit n’est ainsi laissé à un lecteur d’ores et déjà conquis qui, tenu en haleine d’un bout à l’autre du récit, vit les rebondissements au fur et à mesure que les chapitres défilent sous ses yeux sans qu’il ne voit le temps passer ni la fin arriver.
Mais une fois encore c’est Ameyal qui retient toute notre attention. La jeune fille entend intégrer l’école du harem, mais la tâche n’est pas si aisée et les obstacles et autres épreuves pour l’empêcher d’avancer ne vont décidément pas manquer… Si le sort semble ainsi s’acharner sur notre héroïne, c’est sans compter sur son indéfectible volonté et son infaillible détermination pour réussir à tout prix, quoi qu’il en coûte. Son insatiable soif de liberté et de vengeance ne connaît aucune limite, aussi redouble-t-elle d’efforts et ne baisse ainsi jamais les bras, ne manquant pas de courage ni même d’audace pour parvenir à ses fins, tant et si bien qu’on l’admire autant qu’on s’en inquiète.
Une fois de plus la plume est fluide et dynamique, le style vif et soigné, ce qui fait de ce roman un instant de lecture particulièrement riche et prenant.
En bref, une suite toujours aussi passionnante dont je lirai la suite avec grand plaisir… Sauf que cette fois-ci, je n’ai PAS la suite… Il va me falloir attendre…
Merci Aurélie ! Je fais le max pour que la suite sorte le 3 mai 😉