Mes petits lecteurs adorés… Si j’ai bien conscience de ne pas vous retrouver dans les meilleures conditions pour papoter, sachez au moins qu’ici vous n’attraperez aucun autre virus que celui de la lecture ! C’est donc avec plaisir et dans la plus franche convivialité que je reviens par ici pour vous livrer le bilan du dernier Club organisé en janvier dernier, mais aussi vous proposer le thème qui, je l’espère, saura vous séduire pour les deux mois à venir !
Mais reprenons dans l’ordre et commençons tout d’abord par ce fameux bilan, le premier de l’année 2020 pour la reprise du Club de lecture virtuel dont le thème était le suivant : “L’Epiphanie est passée… Il est temps de choisir ton Roi ou ta Reine et de nous en parler !” Un thème qui vous a grandement inspiré puisque j’ai vu onze d’entre vous me rejoindre pour y participer ! Si deux lecteurs n’ont malheureusement pas réussi à franchir la page d’arrivée, j’ai tout de même dix lectures à vous présenter ! Aussi je vous remercie très chaleureusement pour votre confiance, votre enthousiasme et votre fidélité… Et à présent : Place au bilan !
Et c’est à Corinne que je laisse la primeur de nous présenter sa lecture aujourd’hui ! Ravie de l’accueillir pour sa première participation à mon petit Club de Lecture Virtuel, son enthousiasme et sa rapidité furent tels qu’elle fut aussi la première à franchir cette fameuse page d’arrivée avec “Le Roi n’a pas sommeil” de Cécile Coulon, initialement paru aux éditions Viviane Hamy et désormais disponible au format poche aux éditions Points…
4ème de couverture : Thomas Hogan aura pourtant tout fait pour exorciser ses démons – les mêmes qui torturaient déjà son père. Quand a-t-il basculé ? Lorsque Paul l’a trahi pour rejoindre la bande de Calvin ? Lorsqu’il a découvert le Blue Budd, le poker et l’alcool de poire ? Lorsque Donna l’a entraîné naïvement derrière la scierie ?
Pourquoi avoir choisi ce titre ? Ce roman m’a été offert par un ami et quelques jours après, je prends connaissance du thème du club de lecture d’Aurélie. Il n’y a pas de hasard ! Alors, bien que n’ayant jamais participé à ce club, je décide de contacter Aurélie et de me lancer.
Qu’as-tu pensé de cette lecture ? Ce roman est plutôt noir sans être larmoyant. J’aurais aimé que le personnage de Thomas soit un peu plus approfondi. L’histoire en elle-même n’est pas transcendante mais je l’ai pourtant dévoré et je suis impatiente de lire d’autres romans de Cécile Coulon. Et c’est là, toute l’ambiguïté de l’auteure. Elle a vraiment une belle plume, très agréable à lire.
Grande fidèle de mon petit Club de Lecture Virtuel, c’est ensuite à Hamida que j’ai le plaisir d’offrir la parole aujourd’hui ! Ne manquant pas d’idées pour nous régaler de passionnantes lectures, elle a décidé cette fois-ci de se plonger dans “L’été des quatre rois” de Camille Pascal, Lauréat du Grand Prix de l’Académie Française en 2018, initialement paru aux éditions Plon et désormais disponible au format poche aux éditions Pocket…
4ème de couverture : Juillet 1830. Le peuple est dans la rue et l’Histoire se répète. Les Parisiens veulent du pain et la Révolution. Depuis Saint-Cloud, Charles X s’accroche à une couronne qu’il croit tenir de Dieu. On muselle la presse ? Celle-ci se déchaîne. On envoie l’armée ? Les émeutiers redoublent d’ardeur. Abdiquer ? Mais pour qui ? Talleyrand louvoie, Chateaubriand déçoit, Stendhal court le guilledou. Personne n’y comprend rien. En quelques jours d’un été caniculaire – l’hiver des Bourbons –, quatre rois vont se succéder, jusqu’au prochain printemps…
Pourquoi avoir choisi ce titre ? Je dois avouer que ce titre me tentait autant qu’il me rebutait : le sujet m’intéressait mais je craignais de m’ennuyer… Je l’ai pourtant acheté dès qu’il est sorti en poche l’été dernier mais je n’avais pas encore réussi à me plonger dedans… Le thème de ton Club a donc sonné comme une alerte : Il était temps de sauter le pas !
Qu’as-tu pensé de cette lecture ? Finalement j’ai beaucoup aimé la lecture de ce passionnant pavé ! Un roman historique particulièrement bien documenté, dans lequel j’ai appris beaucoup de choses en plus de me remémorer mes vieux cours d’histoire, quand j’étais encore scolarisée ! Mais plus encore qu’un roman historique, c’est même une véritable fresque littéraire que l’auteur nous peint ici, dans laquelle il dresse tout un tas de portraits de personnages ayant vraiment existé pour mieux encore nous captiver… On lit, on savoure, on apprend et on voyage dans le temps : J’ai bien fait de me lancer, vraiment j’ai adoré !
Sachez mes petits chéris que j’accueille avec autant de plaisir les nouveaux arrivants comme les grands habitués ! Je souhaite donc la bienvenue à Manon qui a choisi de rejoindre mon petit Club de Lecture Virtuel et qui, pour l’occasion, a choisi de découvrir et nous faire découvrir “Le Livre du Roi” d’Arnaldur Indridason, initialement paru aux éditions Métailié et désormais disponible aux éditions Points…
4ème de couverture :
Le Livre du roi est un trésor pour lequel certains sont prêts à voler, et même à tuer. En 1955 à Copenhague, un étudiant se lie d’amitié avec un étrange professeur, passionné de sagas islandaises… ancien propriétaire du fameux manuscrit. Désireux de récupérer ce bien inestimable, ils se lancent dans une quête effrénée à travers l’Europe. Ils vont vivre une aventure qui marquera leur vie à jamais.
Pourquoi avoir choisi ce titre ?
Un peu par hasard, je l’avoue… Je connais l’existence de ce club de lecture et je lis toujours ses bilan avec plaisir et curiosité mais sans jamais penser y participer : Etrangement quand on me propose un thème, je sèche… Et puis je suis tombée sur ce titre que je ne connaissais pas de cet auteur que j’aime beaucoup… J’ai pris ça pour un signe et me voici !
Qu’as-tu pensé de cette lecture ?
Si je l’ai trouvé différent de ce que peut nous proposer habituellement cet auteur, j’ai adoré cette lecture dans laquelle on apprend énormément de choses au travers de ce livre tandis qu’on voyage à travers l’Europe. Plus qu’une lecture, une sombre aventure et une passionnante quête en compagnie d’un curieux duo que j’ai de suite apprécié. C’est bien écrit, très bien documenté, le thème abordés le sont avec beaucoup de précision… C’est un roman noir captivant que je recommande absolument !
Une autre fidèle lectrice de mon petit Club de Lecture Virtuel, c’est la très charmante Valérie/Sally que je prends toujours plaisir à rencontrer même si les occasions ont tendance à se raréfier ces derniers temps pour cause de Corona acharné… Qu’à cela ne tienne, je ne désespère pas de pouvoir participer à son prochain Club de lecture organisé sur Paris ! Et en attendant je la laisse vous parler de “Marie Stuart” de Stefan Zweig, initialement paru aux éditions Grasset et désormais disponible chez Livre de Poche…
4ème de couverture : Reine d’Ecosse à l’âge de six jours, en 1542, puis reine de France à dix-sept ans par son mariage avec François II, Marie Stuart est un des personnages les plus romanesques de l’histoire. Veuve en 1560, elle rentre en Ecosse et épouse lord Darnley. Déçue par ce mariage, elle devient la maîtresse du comte Bothwell. Lorsque ce dernier assassine Darnley, l’horreur est telle que Marie doit se réfugier auprès de sa rivale, Elisabeth Ire, reine d’Angleterre. Celle-ci la retiendra vingt ans captive, avant de la faire condamner à mort. Son courage devant le supplice impressionnera les témoins, au point de métamorphoser celle que l’on disait une criminelle en une martyre de la foi catholique… Sur cette figure fascinante et controversée de l’histoire britannique, le biographe de Marie-Antoinette et romancier de Vingt-quatre heures de la vie d’une femme a mené une enquête rigoureuse, se livrant à une critique serrée des documents et des témoignages. Ce récit passionné nous la restitue avec ses ombres et ses lumières, ses faiblesses et sa grandeur.
Pourquoi avoir choisi ce titre ? Suite à une lecture récente de la biographie de Marie-Antoinette par le même auteur, j’avais hâte de découvrir le tragique destin de Marie Stuart.
Qu’as-tu pensé de cette lecture ? Reine d’Ecosse à l’âge de 6 jours, Reine de France avant ses 20 ans, Marie Stuart, non seulement ne sera jamais Reine d’Angleterre mais sera décapitée sur l’ordre de celle-ci. Destin cruel, vie se déroulant dans les extrêmes, elle connaîtra les tourments de l’amour et de la haine, le pouvoir et la captivité. Ainsi que l’annonce l’auteur en préface, les documents concernant les aventures de cette femme sont très nombreux au point qu’il est parfois difficile de démêler l’authentique de la copie arrangée. C’est donc à l’issue d’un immense travail de recherches et d’analyses que l’auteur nous livre ici une page d’histoire complète riche en anecdotes. Cette biographie se lit comme un roman grâce à son sujet mais aussi grâce à la plume légère mais précise de Stefan Zweig.
Plus on est de fous… Plus on lit ! Aussi est-ce avec plaisir que j’accueille parmi nous une nouvelle primo-participante répondant au doux nom de Marie, laquelle a choisi de nous rejoindre en nous proposant de (re)découvrir un grand classique de la littérature théâtrale, à savoir “Ubu Roi” d’Alfred Jarry, disponible dans de nombreuses éditions et notamment aux éditions Livre de Poche…
4ème de couverture :
Officier du roi Venceslas, décoré de l’ordre de l’Aigle rouge, Ubu jouit d’une position enviable à la cour de Pologne. Mais sa femme, la Mère Ubu, a bien d’autres ambitions pour lui. En le persuadant de détrôner Venceslas, elle va le précipiter dans de multiples aventures. Ubu sera tour à tour roi, guerrier et fuyard, avant de devenir « maître des Phynances » dans son pays d’origine, la France… En composant à quinze ans cette œuvre parodique et bouffonne, qui fit scandale lors de sa création en 1896, Alfred Jarry (1873-1907) ne se doutait certes pas qu’il allait marquer de son empreinte tout le théâtre du XXème siècle, de Roger Vitrac à Boris Vian et Eugène Ionesco. Il y a du Shakespeare et du Rabelais dans cette fantaisie « hénaurme » et truculente, au rythme débridé, à l’invention verbale irrésistible de drôlerie. Tour à tour féroce et couard, vaniteux et inquiet, mélange de Macbeth et de Falstaff, le Père Ubu est plus qu’un personnage : c’est un mythe, incarnation d’une humanité à la fois terrifiante et dérisoire, comique à force de laideur, colossale de sottise et de lâcheté.
Pourquoi avoir choisi ce titre ?
J’aime beaucoup le théâtre : Le jouer, le regarder… Et le lire aussi. Quand j’ai vu le thème de ton Club de lecture, j’ai tout de suite pensé à ce titre que j’ai lu il y (vraiment) très longtemps… Une occasion m’était offerte de me replonger dedans, je n’allais pas dire non !
Qu’as-tu pensé de cette lecture ?
Je ne vais pas mentir : Je ne me rappelais de l’histoire que dans les (très) grandes lignes… J’ai donc redécouvert ce titre, et ce avec beaucoup de plaisir mais sans doute avec plus de recul aussi. Avec beaucoup d’humour et de finesse, l’auteur nous livre un savoureux pamphlet des dirigeants et leurs folles ambitions, de manière simple, drôle et efficace. Car c’est effectivement une lecture facile et distrayante, on se régale de ces personnages un peu (beaucoup) bouffons qui se retrouvent dans des situations grotesques et truculentes. Merci de m’avoir permis de me replonger dans cette lecture !
Après le théâtre… Place aux nouvelles ! Avec l’une de mes plus fidèles habituées… Et pour cause, il s’agit de ma Maman Roseline, grande lectrice et membre de ma DreamBookTeam ! Si elle a désormais l’habitude de vous proposer ses lectures au travers de différentes rubriques, elle a choisi cette fois-ci de faire découvrir “Le Roi en jaune” de Robert W. Chambers, publié par les éditions Malpertuis et depuis disponible aux éditions Livre de Poche…
4ème de couverture :
Datant de 1895, Le Roi en jaune est un recueil américain de dix nouvelles mêlant fantastique, horreur et roman policier. Les quatre premières nouvelles du recueil font référence à une mystérieuse pièce de théâtre qui crée un tel choc esthétique aux yeux des spectateurs qu’ils deviennent fous et se suicident. Atmosphère oppressante, personnages étranges, spectres inquiétants, chaque nouvelle offre son lot d’effroi et de mystère. Ce texte aussi troublant qu’étonnant de modernité, dans la droite lignée d’un Edgar Allan Poe, a inspiré de grands noms comme Lovecraft, mais aussi la nouvelle série américaine à succès : True Detective écrite par l’auteur Nic Pizzolatto avec l’acteur star Matthew McConaughey. La série est actuellement diffusée sur OCS et sera diffusée sur Canal + au premier semestre 2015. Elle cartonne déjà dans le monde entier. La maison indépendente Malpertuis a publié ce texte en 2009.
Pourquoi avoir choisi ce titre ? Tu nous avais d’abord proposé ce titre en lecture commune il y a quelques temps, mais il n’avait finalement pas été retenu alors qu’il m’intéressait… Tu m’en as ensuite rappelé l’existence lorsque je cherchais un recueil de nouvelles pour un précédent Club de lecture mais j’ai finalement lu “Crimes de sang froid” parce que tu m’avais dit beaucoup de bien de la nouvelle de ton auteur chouchou… Jamais deux sans trois, ce thème requiert un Roi : Le voilà !
Qu’as-tu pensé de cette lecture ? Je dirais tout d’abord qu’il est un peu survendu, ce qui pourrait conduire bon nombre de lecteurs à une amère déception. Ca a bien failli être mon cas. En effet les nouvelles sont d’intérêt et de qualité variables. Autant j’ai aimé les premières nouvelles fantastiques – dans tous les sens du terme car confirme à ce que j’attendais, particulièrement passionnantes et bien écrites – autant je me suis assez ennuyée sur le reste de ma lecture… Donc c’est un avis mitigé que je livre aujourd’hui même si je ne regrette en rien ma lecture !
A présent c’est avec plaisir que j’offre la parole à la charmante Aurore, elle aussi primo-participante à qui je souhaite la bienvenue dans cette folle aventure ! Pour le premier Club de Lecture Virtuel auquel elle participe – et pas le dernier je l’espère ! -, Aurore a ainsi choisi de se plonger dans “Le choix du roi“, un roman autoédité signé Solène Bauché…
4ème de couverture :
Royaume des Francs, 792. L’heure est grave : Charlemagne vient d’apprendre que son fils d’un premier lit, Pépin le Bossu, a conspiré contre lui. Le roi est loin d’avoir été un père idéal, mais la sentence est sans appel : le jeune traître doit rejoindre un monastère et y demeurer le restant de ses jours. Peu enclin à faire amende honorable et encore moins à devenir un homme de Dieu, Pépin dépérit. L’héritier déchu est loin de se douter que c’est par une entremise des plus inattendues que viendra son salut, avant d’entamer un périlleux voyage vers l’inconnu…Un roman d’aventure teinté de fantastique dans lequel les voix se croisent et l’Histoire se mêle à l’Imaginaire.
Pourquoi avoir choisi ce titre? J’adore les romans historiques et j’ai été très tentée par ce premier roman paru en auto-édition. On se plonge dans l’empire des Francs de Charlemagne, une époque étudiée il y a longtemps à l’école et que j’ai envie de redécouvrir.
Qu’as tu pensé de cette lecture ? Une écriture particulièrement vivante qui rend ce livre passionnant à lire. J’ai beaucoup aimé cette façon d’alterner le récit historique authentique et l’imaginaire. Certains livres s’ancrent parfois trop dans la réalité historique et passent à côté de leur histoire, ici l’auteur a su prendre en main son intrigue en se servant d’une base historique et particulièrement bien documentée. Le roman va même faire une petite incursion dans le fantastique très agréable.
Deux autres lectrices m’ont fait le plaisir de participer à mon petit Club de Lecture Virtuel… Et l’ont fait appréhendant le thème avec un brin d’originalité ! La première d’entre elle n’est autre que Marie, charmante lectrice ayant déjà participé au précédent Club de Lecture, laquelle a décidé pour cette fois-ci de se plonger dans “Le dernier testament” de Philip Le Roy, Grand Prix de littérature policière en 2005, initialement paru Au Diable Vauvert et désormais disponible en poche aux éditions Points…
4ème de couverture :
Fairbanks, de nos jours : une équipe de scientifiques est massacrée dans un laboratoire clandestin de recherche clinique. Parmi les victimes, deux prix Nobel de médecine, un agent du FBI et un cobaye humain dont l’autopsie révèle qu’il était déjà mort. Bientôt des créatures monstrueuses se mettent à rôder autour de la ville… Le FBI, affolé, appelle Nathan Love, profiler de génie…
Pourquoi avoir choisi ce titre ?
Je séchais un peu sur le thème que tu proposais… Je ne doute pas qu’il y ait une multitude de titres possibles mais ça ne me venait pas… Et puis en parcourant ma bibliothèque, je suis tombée sur celui-ci… C’était un peu tiré par les cheveux mais je te sais bienveillante, je ne doutai pas que tu trouverais l’idée originale… Et au moins ça m’a permis de sortir ce livre de ma PAL !
Qu’as-tu pensé de cette lecture ?
Ce n’est pas exactement ce à quoi je m’attendais, toujours est-il que j’ai beaucoup aimé cette histoire palpitante et captivante, qui ne connaît aucun temps mort sitôt qu’on a plongé dedans. L’histoire est bien ficelée, les personnages sont bien campés, les péripéties s’enchaînent à un rythme effréné, le tout est servi par une plume nerveuse et efficace… C’est le premier bouquin que je lis de cet auteur mais je vais me renseigner sur ses autres titres : Donc je suis fière d’avoir un peu détourné ta thématique !
De la même manière, c’est avec plaisir que j’ai vu Sarah interpréter le thème à sa délicieuse et passionnante manière pour sa première participation à mon petit Club de lecture virtuel ! C’est ainsi qu’elle a choisi de pénétrer dans “L’Institut” de Stephen King, paru cette année aux éditions Albin Michel…
4ème de couverture :
Au coeur de la nuit, à Minneapolis, des intrus pénètrent la maison de Luke Ellis, jeune surdoué de 12 ans, tuent ses parents et le kidnappent.
Luke se réveille à l’Institut, dans une chambre presque semblable à la sienne, sauf qu’elle n’a pas de fenêtre. Dans le couloir, d’autres portes cachent d’autres enfants, dotés comme lui de pouvoirs psychiques.
Que font-ils là ? Qu’attend-on d’eux ? Et pourquoi aucun de ces enfants ne cherche-t-il à s’enfuir ?
Pourquoi avoir choisi ce titre ?
Parce que Roi… King… Stephen King… En grande fan que je suis de cette auteure, j’ai rapidement fait le parallèle et, sachant que son nouveau sortait, j’étais persuadée que cela pouvait passer : La preuve ! ^^
Qu’as-tu pensé de cette lecture ?
Sans doute me dira-t-on que je ne suis pas objective à son sujet… Sans doute tes lecteurs auront-ils raison mais j’assume totalement mon addiction pour le grand King comme tu assumes la tienne pour ton auteur chouchou ! J’ai donc passé un excellent moment de lecture grâce à la plume de mon auteur favori, qui a repris quelques-uns de ses thèmes de prédilection sans pour autant nous servir du réchauffé ! Je me suis complètement laissée embarquer par cette histoire inquiétante de réalisme et angoissante de modernité… Je l’ai dévoré d’une traite, incapable de le lâcher : Oui j’ai adoré ce nouvel opus du grand King… Le Roi des auteurs !
Et c’est à moi que revient la lourde tâche de clôturer ce bilan d’un Club de Lecture Virtuel déjà fort passionnant ! Pour ma part j’ai choisi de me plonger dans une intégrale qui me fait de l’œil depuis un petit moment : “Le Roi Squelette” de Serge Brussolo, dans une version intégrale revisitée paru aux éditions Bragelonne…
4ème de couverture :
Une intégrale entièrement révisée par l’auteur et comprenant des textes inédits ! Exclus d’une société antique, Junia, une jeune femme aux proportions de géante, et Shaghan, un garçon dépourvu de jambes, sont les esclaves d’un magicien-forgeron. Récompensant leur courage, celui-ci les envoie réparer des armures enchantées. Mais cette mission se révèle bien plus dangereuse que prévu : les deux esclaves se retrouvent contraints d’affronter le Roi Squelette lui-même, entité démoniaque et insaisissable incarnant les puissances ténébreuses à leur paroxysme.
Pourquoi avoir choisi ce titre ?
En lançant ce thème j’avais déjà 1000 titres en tête… Dont un grand nombre appartenant à la littérature de l’imaginaire, probablement parce que je venais de faire une petite rétrospective sur le sujet, délicieux rappel de mes plus jeunes années… Il n’empêche qu’il m’a fallu choisir… Et c’est en parcourant les nombreux livres de ma bibliothèque que mes yeux se sont rivés sur l’heureux élu… Bon sang mais c’est bien sûr : Une intégrale et deux mois pour la bouquiner !
Qu’as-tu pensé de cette lecture ?
Je suis absolument ravie de m’être laissée tenter par ce bouquin pour me plonger enfin dans cette lecture ! Une histoire à la fois originale et passionnante, au moins autant que le sont d’ailleurs les personnages que l’on apprend à connaître et immédiatement à apprécier. Je n’ai pas vu le temps passer ni les pages défiler tant l’auteur a pris soin de planter son décor pour mieux nous happer et nous captiver d’une plume particulièrement fluide et ciselée et nous régaler de dialogues savoureux… Un formidable moment de lecture à n’en point douter… Il me faut revoir sa bibliographie d’un peu plus près !
Et c’est ainsi que s’achève le bilan du premier Club de Lecture Virtuel de l’année… Un bilan particulièrement riche, que je conclurais de deux titres supplémentaires pour remercier leurs lecteurs, pris par le temps et la folle vie qu’on mène actuellement, d’avoir aussi tenté l’expérience : “La fille du roi des marais” de Karen Dionne et “Un roi sans divertissement” de Jean Giono… Qu’on parvienne ou non à relever le défi, c’est toujours un immense plaisir pour moi que de vous voir aussi nombreux à prendre part à mes folles tribulations, qu’elles soient réelles ou virtuelles… Alors un immense merci à tous pour votre soutien, votre enthousiasme et votre fidélité sans lesquels je ne serais sans doute jamais allée aussi loin, surtout en ces temps si sombres… Et que je tiens à récompenser du mieux que je peux… Ainsi je vous laisse découvrir l’heureuse gagnante de ce bilan, laquelle a la chance de gagner le livre de son choix parmi les titres de ce petit compte-rendu : Elle le recevra prochainement par courrier (dès que j’aurai pu me le procurer) : Toutes mes plus sincères félicitations !
Il est l’heure à présent de vous dévoiler le thème qui va nous occuper durant les deux prochains mois… Deux mois qui s’annoncent difficiles au regard de la situation actuelle aussi devons-nous combattre la déprime :
Au diable le virus et son lot de mauvaises nouvelles : Je veux du soleil comme s’il en pleuvait dans ta lecture !
Vous connaissez le thème… A présent prenons connaissance des petites règles à respecter :
Le tout en un maximum de dix lignes transmises par mail à la même adresse au plus tard le 03 mai 2020!
– On se retrouve le samedi 09 mai 2020 pour un nouveau bilan… Et un nouveau thème pour la session suivante !
Puissent ces heures de lecture remonter votre moral, réchauffer votre coeur et illuminer vos journées… Je le souhaite très sincèrement, autant que je souhaite vous retrouver en de meilleurs circonstances… Alors à très vite pour de nouvelles aventures livresques… Et surtout prenez soin de vous !