Souvenez-vous… Le 30 août dernier, j’avais l’immense plaisir de vous annoncer le lancement de cette nouvelle rubrique, dont l’objectif est chaque mois de vous faire découvrir un auteur que j’adore, injustement snobé pour avoir eu la malchance d’être lu avant la création de mon blog…
Pour ce troisième article, j’ai décidé de vous parler d’un auteur que j’affectionne tout particulièrement parce qu’il fut à l’origine de ma passion pour les thrillers… Laissez-moi donc vous présenter Alexis Aubenque !
Quelques mots de bio…
Né le 23 décembre 1970 et originaire de Montpellier, Alexis Aubenque est donc un formidable auteur français. Après des études en sciences économiques, ce passionné de littérature SF monte à Paris et devient tout d’abord libraire à la FNAC, avant de se tourner définitivement vers l’écriture…
Quelques mots de biblio…
Grand adepte de la science-fiction, c’est bien évidemment vers cet univers qu’il s’oriente en publiant en 2002 “La Chute des Mondes“, suivi de “Etat de guerre” en 2004, puis de la série “L’Empire des Etoiles” à partir de 2006 aux éditions Fleuve Noir.
Il s’oriente ensuite vers le thriller et publie en 2008 “Sept jours à River Falls“, premier tome d’une trilogie publiée aux éditions Calmann-Levy et Livre de Poche, dont le second volet, “Un automne à River Falls“, sera couronné par le Prix Polar du Salon du Polar de Cognac en 2009.
Il enchaînera ensuite avec une nouvelle trilogie, “Nuits Noires à Seattle” en 2011, toujours publiée aux éditions Calmann-Levy et Livre de Poche.
S’ensuivent de nombreux autres thrillers tels que le dyptique “Stone Island” aux éditions Toucan, mais aussi “Canyon Creek” (2012) et “Les Disparues de Louisiane” (2014), toujours aux éditions Toucan, ou encore “Ne crains pas la Faucheuse” (2015) et “Tu ne manqueras à personne” (2016) aux éditions J’ai Lu.
En 2015 il publie “Tout le monde te haïra” aux éditions Robert Laffont (La Bête Noire), mettant en scène un nouveau duo : Nimrod Russell et Tracy Bradshaw.
En 2015 il publie “Tout le monde te haïra” aux éditions Robert Laffont (La Bête Noire), mettant en scène un nouveau duo : Nimrod Russell et Tracy Bradshaw.
Quelques mots d’amour…
2010. A l’époque peu adepte des thrillers, polars et autres œuvres de littérature noire, c’est au gré d’une de mes nombreuses pérégrinations libraires que je suis tombée par hasard sur la version poche de “Sept jours à River Falls“. Inexplicablement convaincue par le synopsis que j’en avais lu, j’écoutais mon cœur et repartais donc avec un exemplaire de ce roman, bien décidée à me lancer dans de nouvelles aventures et découvrir d’autres contrées littéraires… Et à coup sûr il existe un Dieu de la Littérature qui veille sur ses bienaimés lecteurs en leur insufflant le flair nécessaire pour dénicher de belles pépites ! Car ce fut pour moi, vous l’aurez compris, un véritable coup de cœur que j’ai englouti en moins de temps qu’il ne m’en faut pour vous l’écrire ! Je suis alors partie à la recherche d’autres romans de cet auteur, et découvrais alors avec ravissement que j’allais retrouver le Shérif Mike Logan pour une nouvelle enquête avec “Un automne à River Falls“, bien légitimement récompensé à Cognac par le Prix du Polar en 2009 (Comment ça, je manque d’objectivité ?! Et… Alors ???). Mon petit cœur s’emballant une nouvelle fois à la lecture de cette seconde enquête, c’est alors avec impatience et dévotion que je me suis mise à guetter chaque nouveau roman de cet auteur passionnant. Ce dernier se révélant un récidiviste invétéré, j’eus donc la joie de pouvoir me plonger dans de nouvelles aventures où figurait Mike Logan, dans le dernier volet de la Trilogie River Falls, “Un Noël à River Falls“, mais par la suite encore avec la Trilogie “Nuits Noires à Seattle” regroupant les romans “Charité bien ordonnée“, “Pour le bien des enfants” et “Né pour être sauvage“. Et décidément convaincue par son incontestable talent, je décidais d’accorder ma totale confiance à cet auteur en rencontrant d’autres personnages, dans d’autres enquêtes, au travers d’autres thrillers. Défilaient donc sous mes yeux “Canyon Creek“, et “Stone Island“, “Les Disparues de Louisiane” et “Le Secret de Stone Island“, “Ne Crains pas la Faucheuse“…
Découvrant ensuite l’art de pouvoir flâner en salon littéraire, j’eus l’immense plaisir de pouvoir ENFIN rencontrer Alexis Aubenque en 2015 à l’occasion du Salon du Livre “Saint-Maur en Poche”. Sauf que… Trop émue, c’est rouge et le sourire béat que je suis arrivée devant lui sans être capable d’aligner plus de deux mots à peu près cohérents… Je vous rassure, en dehors de ma dignité, personne n’a été blessé au cours de cette scène, et c’est tout de même ravie (et toujours avec le sourire béat!) que je suis repartie avec deux de ses romans dédicacés ! Depuis, j’ai ouvert mon blog et légèrement mûri c’est donc (presque) pleine d’assurance et (presque) sûre de moi que je suis retournée le voir cette année à l’occasion du même salon. Toujours aussi sympathique, ouvert, gentil et attentionné, je garde de cette rencontre un souvenir mémorable et enchanteur, sans oublier une superbe photo doublée d’une adorable dédicace sur son dernier roman, “Tout le monde te haïra“. La monstrueuse taille de ma PAL m’a malheureusement empêchée de pouvoir me plonger dans celui-ci aussi rapidement que je le souhaitais, et ce n’est finalement qu’en septembre dernier que j’ai pu m’y plonger !
Découvrant ensuite l’art de pouvoir flâner en salon littéraire, j’eus l’immense plaisir de pouvoir ENFIN rencontrer Alexis Aubenque en 2015 à l’occasion du Salon du Livre “Saint-Maur en Poche”. Sauf que… Trop émue, c’est rouge et le sourire béat que je suis arrivée devant lui sans être capable d’aligner plus de deux mots à peu près cohérents… Je vous rassure, en dehors de ma dignité, personne n’a été blessé au cours de cette scène, et c’est tout de même ravie (et toujours avec le sourire béat!) que je suis repartie avec deux de ses romans dédicacés ! Depuis, j’ai ouvert mon blog et légèrement mûri c’est donc (presque) pleine d’assurance et (presque) sûre de moi que je suis retournée le voir cette année à l’occasion du même salon. Toujours aussi sympathique, ouvert, gentil et attentionné, je garde de cette rencontre un souvenir mémorable et enchanteur, sans oublier une superbe photo doublée d’une adorable dédicace sur son dernier roman, “Tout le monde te haïra“. La monstrueuse taille de ma PAL m’a malheureusement empêchée de pouvoir me plonger dans celui-ci aussi rapidement que je le souhaitais, et ce n’est finalement qu’en septembre dernier que j’ai pu m’y plonger !
Quelques mots d’actu…
Novembre 2016 s’annonce riche pour ce formidable auteur puisque “Tout le monde te haïra” sortira en poche (le 09), suivi quelques jours plus tard de son nouveau roman “Aurore de sang” (le 17) dont l’auteur nous a dévoilé la couverture sur Facebook. Novembre, c’est aussi le mois de mon anniversaire… Autant vous dire que je sais quoi quémander…!
Quelques mots de conclusion…
Voilà donc quelques-unes des raisons pour lesquelles il était essentiel pour moi de mettre en avant cet auteur et toute son œuvre, tant je souhaitais vous faire part de mon coup de cœur à son égard. Si je ne devais vous en conseiller qu’un, je choisirais sans doute possible son tout premier thriller “Sept jours à River Falls“, certaine que cette entrée en matière aux côté de Mike Logan vous poussera, tout comme ce fut mon cas, à lire tous les suivants…
Retrouvez donc dès à présent les fabuleux romans d’Alexis Aubenque, publiés aux éditions Calmann-Levy et Livre de poche, aux éditions Toucan et aux éditions Robert Laffont pour le dernier, dans toutes les bonnes librairies ! Belles lectures !