C’est avec le coeur en peine que j’écris ces quelques lignes, à l’heure où l’extrême Sud Ouest de notre pays connaît des heures bien dramatiques suite aux caprices diluviens d’une météo partie en vrille… Le ciel ne tourne décidément pas rond, le monde et les hommes non plus… Et pendant ce temps-là, il faut vivre avec ça, se dire que la vie continue…
Alors on trouve refuge dans ce qui nous console… Et c’est chez moi la lecture qui revêt cette miraculeuse vertu… Une passion dévorante dans laquelle j’ai embrigadé mes proches dont le soutien et l’enthousiasme sont autant de clés me permettant d’ouvrir les portes du bonheur et d’avancer le plus loin possible en leur compagnie…
Et c’est aujourd’hui avec ma collègue Françoise que je vous retrouve aujourd’hui… Après ma meilleure amie Laura, mon compagnon Franck, ma maman Roseline, elle vous parle à son tour de ces bouquins que je n’ai pas encore eu le temps de lire… De ces auteurs que je n’ai pas encore eu le temps de découvrir…
Et comme les grands esprits se rencontrent, quel n’est pas mon plaisir de la voir présenter ce livre dont j’ai justement rencontré l’auteur à Gradignan samedi ! Si j’entends bien me plonger dans “Snjór” dans les plus brefs délais, c’est de “Sótt“, récemment paru aux éditions de la Martinière, qu’elle s’apprête à vous parler !
Ce que dit la quatrième de couverture…
“Mais que se passe-t-il encore à Siglufjördur ? L’inspecteur Ari Thór n’est pas venu à bout des secrets de ce village en apparence si tranquille. Lui qui avait fini par se faire à la rudesse du climat et aux hivers trop longs se sent de nouveau pris à la gorge par un terrible sentiment de claustrophobie. La ville est mise sous quarantaine car on suspecte une épidémie de fièvre hémorragique (Sótt, en islandais). Les premières victimes succombent tandis qu’un crime vieux de cinquante ans remonte à la surface… Le huis clos se referme sur les habitants de Siglufjördur“.
Françoise a aimé… Oui, mais pourquoi ?
Non mais imaginez un peu le tableau : A la fin de l’hiver, alors que la bise hurle, la ville est mise en quarantaine suite à une mystérieuse fièvre qui a déjà tué des habitants et des soignants… Mais comme si ce n’était pas suffisant, l’inspecteur Ari Thór reçoit une étrange requête d’un habitant de la ville, concernant une affaire non élucidée depuis 50 ans… La raison ? Une photo de la famille de cet homme découverte pendant la réunion d’un club local, avec une personne non identifiée qui le tient dans ses bras alors qu’il n’est qu’un bébé… Avec de tels éléments à se mettre sous la dent, ce serait un crime de ne pas vouloir partir en Islande pour rencontrer l’inspecteur Ari Thór et résoudre cette enquête !
Alors Françoise est partie se frotter au rude climat de l’île… Et dans le cœur de la tempête, les liens se découvrent et la quête de vérité, poursuivie coûte que coûte au milieu des éléments déchainés et des lieux inhospitaliers, porte ses fruits tandis que ces enquêtes parallèles soulignent le phénomène d’enfermement lié à la topographie des lieux comme du climat…
Car Françoise a pu remarquer que cette obscurité dans laquelle elle s’est retrouvée plongée, cet hiver sans lumière et sans fin qui rythme la vie en Scandinavie, génère des troubles de personnalité que l’on retrouve dans cet écheveau de crimes et de destins obscurs ou brisés, justes effleurés, enchâssés dans des lieux pris par le gel et les montagnes hostiles. Tout finira par s’expliquer sinon s’éclairer bien sûr… Mais il vous faudra attendre la fin car nous ne vous révélerons rien ! ^^
Non mais imaginez un peu le tableau : A la fin de l’hiver, alors que la bise hurle, la ville est mise en quarantaine suite à une mystérieuse fièvre qui a déjà tué des habitants et des soignants… Mais comme si ce n’était pas suffisant, l’inspecteur Ari Thór reçoit une étrange requête d’un habitant de la ville, concernant une affaire non élucidée depuis 50 ans… La raison ? Une photo de la famille de cet homme découverte pendant la réunion d’un club local, avec une personne non identifiée qui le tient dans ses bras alors qu’il n’est qu’un bébé… Avec de tels éléments à se mettre sous la dent, ce serait un crime de ne pas vouloir partir en Islande pour rencontrer l’inspecteur Ari Thór et résoudre cette enquête !
Alors Françoise est partie se frotter au rude climat de l’île… Et dans le cœur de la tempête, les liens se découvrent et la quête de vérité, poursuivie coûte que coûte au milieu des éléments déchainés et des lieux inhospitaliers, porte ses fruits tandis que ces enquêtes parallèles soulignent le phénomène d’enfermement lié à la topographie des lieux comme du climat…
Car Françoise a pu remarquer que cette obscurité dans laquelle elle s’est retrouvée plongée, cet hiver sans lumière et sans fin qui rythme la vie en Scandinavie, génère des troubles de personnalité que l’on retrouve dans cet écheveau de crimes et de destins obscurs ou brisés, justes effleurés, enchâssés dans des lieux pris par le gel et les montagnes hostiles. Tout finira par s’expliquer sinon s’éclairer bien sûr… Mais il vous faudra attendre la fin car nous ne vous révélerons rien ! ^^
Résumons-nous pour finir…
Et bien pour résumer, cet ouvrage est tout simplement fascinant selon Françoise,car il met en scène plusieurs niveaux d’enquête, marqués par une collaboration des personnages qui échappent ainsi à l’enfermement individuel… C’est ainsi que prends fin ce sombre et captivant huis clos, le printemps peut advenir, la lecture peut finir… Votre PAL peut s’alourdir…
Je vous sens d’ores et déjà prêts à braver la mise sous quarantaine et partir à Siglufjördur pour résoudre un Cold Case des plus prenants et captivants ! C’est possible dans toutes les bonnes librairies… Alors bon voyage… Et n’oubliez pas de nous raconter votre retour dans ces pages !