Rassurez-vous mes chers amis : Si j’accuse à nouveau du retard par ici, ce n’est pas une question de moral mais de planning ! Ainsi je rédige ce nouvel article en direct live de… Nîmes ! Nîmes où je passe une excellent séjour culturel, culinaire et (évidemment) littéraire… Mais également située à 800km et 8h de route de mon domicile ! Raison pour laquelle je me devais de prendre un peu de repos avant ce long périple, ceci afin de ne pas m’épuiser comme l’an dernier !
C’est donc en compagnie de ma DreamBookTeam que je vous retrouve aujourd’hui, ravie de pouvoir alimenter cette petite rubrique grâce à leurs lectures… Conjuguées à leur enthousiasme, cela va sans dire ! Une DreamBookTeam et ses quatre membres, lecteurs motivés que j’ai réussi à embrigader dans quelques-unes de mes folles idées, parmi lesquelles celles de partager leurs activités livresques pour alourdir vos PAL !
Et tandis que Franck, Roseline et Laura continuent de bouquiner, c’est au tour de Françoise de nous parler de “La mémoire des embruns” de Karen Viggers, paru aux éditions Les Escales et maintenant chez Livre de Poche.
Ce que dit la quatrième de couverture…
” Mary est âgée, sa santé se dégrade. Elle décide de passer ses derniers jours à Bruny, île de Tasmanie balayée par les vents où elle a vécu ses plus belles années auprès de son mari, le gardien du phare. Les retrouvailles avec la terre aimée prennent des allures de pèlerinage. Entre souvenirs et regrets, Mary retourne sur les lieux de son ancienne vie pour tenter de réparer ses erreurs. Entourée de Tom, le seul de ses enfants à comprendre sa démarche, un homme solitaire depuis son retour d’Antarctique et le divorce qui l’a détruit, elle veut trouver la paix avant de mourir. Mais le secret qui l’a hantée durant des décennies menace d’être révélé et de mettre en péril son fragile équilibre.
Une femme au crépuscule de sa vie, un homme incapable de savourer pleinement la sienne, une émouvante histoire d’amour, de perte et de non-dits sur fond de nature sauvage et mystérieuse. “
Françoise a aimé… Oui mais pourquoi ?
Françoise dira en préambule que ce livre est fascinant pour ceux qui aiment la mer et ses enchantements !
Ainsi Françoise a beaucoup aimé ce livre qui met en scène une nature sauvage dont elle se sent si proche… Tant la mer et son éternel mouvement lui manquent, osera-t-elle même me confier…
Elle m’expliquera en outre qu’elle a grandement apprécié Marie, figure centrale de ce récit, pour son histoire de vie duelle : La face rangée d’une bonne épouse et le destin brisé d’une adolescente, fracassé par les conventions d’une famille convenable…
Françoise tiendra en outre à préciser qu’elle a vraiment aimé ce récit, enveloppé dans la brume de mer, les vents et l’écume, l’espace infini de plages désertes peuplées simplement d’oiseaux marins, qui sont décrits de façon minutieuse sans que cela devienne ennuyeux…
Enfin elle soulignera l’expression retenue de la souffrance, l’exaltation d’une passion inassouvie… Plus encore selon elle, c’est l’universalité du destin humain et des femmes surtout qui ont retenu toute son attention…
Résumons-nous pour finir…
Vous l’aurez sans doute déjà compris, Françoise n’a pas tari d’éloges sur ce livre dont elle a aimé tous les aspects, rejoignant dès lors le propos de Gérard Collard inscrit en gros sur son bandeau : Sublime !
Aussi Françoise ne vous conseillera que trop la lecture de ce bouquin, à la fois captivante, touchante et dépaysante !