Il était un Indé… Et c’est Nelly Topscher !

Mes petits Bookinautes chéris ? Vous n’imaginez pas ma joie de vous retrouver par ici ! Si je manque toujours de temps pour papoter bouquins aussi souvent que le voudrait mon petit cœur de lectrice passionnée, la DreamBookGazette m’a permis un merveilleux doublé : Reprendre mes interviews et mettre de nouveau en lumière les talents de l’autoédition ! Dès lors que je ne vous fait pas languir plus longtemps et vous laisse à présent rencontrer Nelly Topscher à travers ses réponses : Bonne découverte et belle lecture à tous !

Pourriez-vous vous présenter en quelques mots ?
Tout d’abord merci de m’avoir proposée cette interview. Alors qui suis-je ? Nelly, 47 ans, mariée, je suis juriste à temps plein dans une maison de justice et du droit. Fin 2021, je suis également devenue autoentrepreneur en créant une activité de conseiller-agent littéraire. A mes heures perdues, j’écris.

D’où vous est venue l’envie d’écrire ?
C’est en 2017 où j’ai vraiment commencé à écrire après avoir répondu à un concours de nouvelle dont le parrain était Franck Thilliez. Je n’ai pas gagné mais cela m’a redonné envie d’écrire. J’ai alors dépoussiéré mes deux premiers romans commencés lorsque j’étais étudiante en droit et depuis je n’ai plus vraiment arrêté.

Quelles sont vos sources d’inspiration ?
Beaucoup de mes romans naissent dans mes rêves. Sinon mon travail de juriste reste une formidable source d’inspiration. Ayant le cerveau constamment en ébullition, je peux aussi créer une histoire en écoutant quelqu’un discuter, en observant les gens etc…

Pourriez-vous nous parler de vos romans, et notamment de “La croix est la clé de tout”, paru le 07 janvier dernier ?
Ce roman est né de trois rêves concernant un ami à moi. Un de ces songes contenait le message « La croix est la clé de tout ». Il m’a hanté durant des jours jusqu’à ce que j’arrive à poser les premiers mots.
Quelques mois plus tard, le roman était fini.
Il reprend des valeurs auxquelles je suis énormément attachée, notamment l’amitié en général et l’amitié homme/femme en particulier.

Vous semblez varier les genres et les formats : Comment expliquez-vous cette diversité ?
Je suis une rebelle dans l’âme qui aime surtout sortir de ma zone de confort tout en cassant les codes. Du coup, j’ai tenté les romances noires, puis le thriller, et même un feelgood/thriller loufoque.

Pourquoi vous être lancée dans l’autoédition ?
J’ai pris cette décision quand j’ai créé mon entreprise. Je n’avais rien à reprocher à la petite maison d’édition dans laquelle j’étais et qui a encore mes premiers titres, mais je savais que je n’aurais nettement moins de temps pour écrire. Devenir totalement maitresse de mes sorties, de mes romans m’est apparu comme une évidence. Et je ne regrette absolument pas mon choix.

Aux lecteurs réfractaires à l’autoédition, que diriez-vous pour les convaincre de vous lire ?
J’ai envie de leur dire d’oser sortir de leurs habitudes. Il y a autant de bons romans en autoédition qu’en maison d’édition. Être en maison d’édition n’est pas non plus forcément gage de qualité.

Autrice mais sans doute aussi lectrice : Quelle place tient la lecture dans votre vie ?
Je lis énormément surtout dans les transports en commun, et mon domaine de prédilection est le roman noir/thriller, mais je reste ouverte à toute jolie découverte. Là aussi sortir de ma zone de confort est primordial pour moi.

Avez-vous déjà d’autres projets littéraires sont-ils en préparation ?
J’ai un nouveau thriller en cours d’écriture mais le temps me manque. De plus, je me suis mal lancée dedans et il va surement devoir être réécrit en profondeur quand je l’aurai terminé. J’ai aussi des projets de novella à quatre mains, mais rien n’est encore vraiment défini. J’ai aussi deux romans finis qui attendent d’être corrigés.

Un petit mot pour la fin ?
Je suis ravie d’avoir répondu à ces questions. Ce que j’aime dans ce monde livresque ce sont les échanges qui en découlent. Donc n’hésitez pas à venir me parler en privé, ou en salon si j’en fais. J’adore cela !

Un immense merci à Nelly Topscher qui m’a permis de réaliser cette formidable interview !

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