Une histoire à lire avec le coeur: La ribambelle de Nicolaï Drassof.
Le pitch: partageant sa vie avec Irvine dans une relation fusionnelle, Bruno travaille chez un important éditeur parisien. Au bord du burn out dans sa vie parisienne, il s’isole seul dans la Creuse, dans la maison de ses parents qu’il a rénovée. Alors que personne ne sait où il s’est réfugié, il y reçoit un colis rempli de courts manuscrits… Un colis d’où semblent s’élever des voix… Des voix d’une véritable petite ribambelle…
Je dois avouer que j’ai rarement eu autant de difficultés à rédiger ma chronique, tant je sais qu’elle ne rendra pas suffisamment hommage à ce livre si touchant…
Une ribambelle est une série de petits personnages qui se tiennent les uns les autres, obtenue en découpant un personnage dans une feuille de papier plié (dixit Larousse). Force est de constater que c’est bien de cela dont il s’agit dans ce livre émouvant. Au terme d’une mise en abyme remarquablement bien scénarisé de l’auteur lui-même, ce dernier nous narre ici, plus que leur histoire, le destin de plusieurs enfants tels que Mehdi, Piotr, Totoche, Mélaine ou encore Zéphyrin, des enfants d’époques, cultures ou milieux différents, mais réunis par le manque de normalité qui a marqué leurs premiers pas dans la vie. Chacun a “raconté” son histoire à l’auteur, évoquant leurs maux avec leurs propres mots, pour conquérir tout en douceur le coeur du lecteur à l’instar de nos charmants héros, Bruno et Irvine.
“Nous percevons toutes sortes de sentiments lorsque nous lisons. C’est implanté entre leurs pages, comme chacune de nos cellules matérielles est douée de spiritualité”. Et c’est exactement ce que le lecteur ressent en parcourant ces récits de vie en même temps que Bruno. C’est touchant de simplicité, rempli de fantaisies, tellement riche en émotion que vous ne pourrez que succomber à ce roman atypique.
En bref, une chronique inhabituelle pour un roman qui l’est tout autant. Laissez vous transporter par les vies de ses enfants bien décidés à ne pas être oubliés…
Le pitch: partageant sa vie avec Irvine dans une relation fusionnelle, Bruno travaille chez un important éditeur parisien. Au bord du burn out dans sa vie parisienne, il s’isole seul dans la Creuse, dans la maison de ses parents qu’il a rénovée. Alors que personne ne sait où il s’est réfugié, il y reçoit un colis rempli de courts manuscrits… Un colis d’où semblent s’élever des voix… Des voix d’une véritable petite ribambelle…
Je dois avouer que j’ai rarement eu autant de difficultés à rédiger ma chronique, tant je sais qu’elle ne rendra pas suffisamment hommage à ce livre si touchant…
Une ribambelle est une série de petits personnages qui se tiennent les uns les autres, obtenue en découpant un personnage dans une feuille de papier plié (dixit Larousse). Force est de constater que c’est bien de cela dont il s’agit dans ce livre émouvant. Au terme d’une mise en abyme remarquablement bien scénarisé de l’auteur lui-même, ce dernier nous narre ici, plus que leur histoire, le destin de plusieurs enfants tels que Mehdi, Piotr, Totoche, Mélaine ou encore Zéphyrin, des enfants d’époques, cultures ou milieux différents, mais réunis par le manque de normalité qui a marqué leurs premiers pas dans la vie. Chacun a “raconté” son histoire à l’auteur, évoquant leurs maux avec leurs propres mots, pour conquérir tout en douceur le coeur du lecteur à l’instar de nos charmants héros, Bruno et Irvine.
“Nous percevons toutes sortes de sentiments lorsque nous lisons. C’est implanté entre leurs pages, comme chacune de nos cellules matérielles est douée de spiritualité”. Et c’est exactement ce que le lecteur ressent en parcourant ces récits de vie en même temps que Bruno. C’est touchant de simplicité, rempli de fantaisies, tellement riche en émotion que vous ne pourrez que succomber à ce roman atypique.
En bref, une chronique inhabituelle pour un roman qui l’est tout autant. Laissez vous transporter par les vies de ses enfants bien décidés à ne pas être oubliés…