Si les jours et semaines à venir s’annoncent particulièrement maussades, la faute à ce fichu Corona, ne nous laissons pas aller : soyons prudents mais gardons le moral et restons optimistes, les choses vont bien finir par s’arranger, vous verrez ! Ne nous reste plus qu’à patienter… Et quoi de mieux qu’un peu de lecture pour nous y aider ? Mes amis, vous savez pertinemment qu’en la matière j’ai toujours ce qu’il vous faut, et c’est aujourd’hui dans le cadre de cette petite rubrique que je m’apprête à vous gâter ! Une petite rubrique que j’affectionne tout particulièrement puisqu’elle me permet en effet de vous parler de ces auteurs et leurs titres que j’ai pu découvrir par le passé sans que je ne puisse toutefois vous en parler puisque cela remonte à des temps (presque) immémoriaux, une époque où mon blog n’était pas encore créé…
Et si vous connaissez sans doute déjà l’auteur que je m’apprête cette fois-ci à vous présenter, il me tenait tout de même à coeur de le remercier à travers cet article pour toutes ces belles heures de lecture qu’il m’a déjà offert et qu’il m’offrira encore par la suite : Mes amis, laissez-moi donc vous parler du célébrissime Michel Bussi…
Quelques mots de bio…
S’il vous dira bien volontiers qu’il est un enfant de Jules Verne, de Maurice Leblanc ou d’Agatha Christie comme on peut le lire sur son site parce qu’il a toujours adoré bouquiner, dans les faits Michel Bussi est né le 29 avril 1965 à Louviers, en Normandie et a étudié la géographie à l’Université pour en devenir aujourd’hui un éminent spécialiste. Devenu professeur à l’Université de Rouen et Directeur d’un laboratoire du CNRS, il trouve aussi le temps d’écrire dans son emploi du temps particulièrement chargé, pour publier “Code Lupin” aux éditions des Falaises en 2006, premier titre d’une bibliographie devenue bien longue aujourd’hui…
Quelques mots de biblio…
Une bibliographie qui commence donc à germer en 2006 et se trouve désormais bien fleurie aujourd’hui :
2006 – Code Lupin (dont une édition illustrée sera également publiée en 2018)
2007 – Omaha Crimes (réédité en 2014 aux Presses de la Cité sous le titre “Gravé dans le sable“)
2008 – Mourir sur Seine (adapté en BD – deux tomes – aux éditions Petit à petit en 2018 et 2019)
2009 – Sang Famille (réédité en 2018 aux Presses de la Cité sous le même titre)
2011 – Nymphéas Noirs (adapté en BD aux éditions Dupuis en 2019)
2012 – Un avion sans elle (Prix Maison de la Presse)
2013 – Ne lâche pas ma main
2014 – N’oublier jamais
2015 – Maman a tort
2016 – Le temps est assassin
2017 – On la trouvait plutôt jolie
2017 – La dernière licorne (publié sous le pseudonyme de Tobby Rolland et réédité sous son vrai nom en 2019)
2018 – T’en souviens-tu, mon Anaïs ? (Recueil de nouvelles)
2019 – J’ai dû rêver trop fort
2020 – Au soleil redouté
A noter que le succès de Michel Bussi ne se dément pas depuis de nombreuses années puisqu’il fat désormais parti des dix auteurs les plus lus en France. Un succès qui a désormais franchi les frontières puisqu’il est mondialement connu et se trouve traduit dans plus de 35 pays. Un succès qui dépasse également le monde du livre puisque ses titres font également l’objet d’adaptations télévisuelles qui, elles aussi, connaissent un franc succès !
2006 – Code Lupin (dont une édition illustrée sera également publiée en 2018)
2007 – Omaha Crimes (réédité en 2014 aux Presses de la Cité sous le titre “Gravé dans le sable“)
2008 – Mourir sur Seine (adapté en BD – deux tomes – aux éditions Petit à petit en 2018 et 2019)
2009 – Sang Famille (réédité en 2018 aux Presses de la Cité sous le même titre)
2011 – Nymphéas Noirs (adapté en BD aux éditions Dupuis en 2019)
2012 – Un avion sans elle (Prix Maison de la Presse)
2013 – Ne lâche pas ma main
2014 – N’oublier jamais
2015 – Maman a tort
2016 – Le temps est assassin
2017 – On la trouvait plutôt jolie
2017 – La dernière licorne (publié sous le pseudonyme de Tobby Rolland et réédité sous son vrai nom en 2019)
2018 – T’en souviens-tu, mon Anaïs ? (Recueil de nouvelles)
2019 – J’ai dû rêver trop fort
2020 – Au soleil redouté
A noter que le succès de Michel Bussi ne se dément pas depuis de nombreuses années puisqu’il fat désormais parti des dix auteurs les plus lus en France. Un succès qui a désormais franchi les frontières puisqu’il est mondialement connu et se trouve traduit dans plus de 35 pays. Un succès qui dépasse également le monde du livre puisque ses titres font également l’objet d’adaptations télévisuelles qui, elles aussi, connaissent un franc succès !
Quelques mots d’amour…
Si j’ai toujours apprécié me plonger dans la bibliographie d’un auteur de manière chronologique, ce n’est pourtant pas ce qui est arrivé avec Michel Bussi. Comme bon nombre d’entre vous sans doute, je l’ai découvert avec “Un avion sans elle” alors qu’il venait de recevoir le Prix Maison de la Presse… Une excellente nouvelle, certes, puisqu’elle m’a permis de découvrir l’auteur comme le titre, mais à la suite de laquelle j’ai préféré patienter encore un peu, par crainte de voir mes attentes frustrées ou déçues… J’ai donc retardé ma lecture jusqu’à sa parution aux éditions Pocket… Et le coup de coeur fut au rendez-vous ! Je ne m’attarderai pas davantage à son sujet puisque j’ai prévu de le relire prochainement, me permettant ainsi de rédiger une chronique et vous en parler plus avant !
Mais dès lors il n’était plus possible pour moi d’ignorer sa bibliographie plus longtemps ! De mémoire j’ai donc enchaîné avec “Ne lâche pas ma main” qui était alors sa toute dernière publication, avant de remontrer le temps avec “Nymphéas Noirs” ainsi que ses précédents titres que j’avais eu la chance de pouvoir dénicher auprès de ma bibliothèque… Chaque fois le plaisir de lecture fut le même, l’auteur se montrant toujours à la fois simple et efficace, captivant et distrayant… C’est donc en toute logique que je me suis même procurée les éditions dérivées/illustrées depuis : Ainsi en est-il pour “Code Lupin” sur lequel je me suis ruée à Etretat en visitant la maison de Maurice Leblanc ! Depuis lors j’ai savouré chaque nouvelle parution de Michel Bussi et n’ai pas manqué un seul de ses rendez-vous en librairie, exception faite pour “T’en souviens-tu, mon Anaïs ?” que j’ai dans ma bibliothèque mais que je n’ai toujours pas lu sans que je ne puisse m’en expliquer… Bientôt peut-être !
Je l’ai même été à l’insu de mon plein gré pour “La dernière licorne“, que j’ai eu la chance de pouvoir découvrir dès sa sortie, sans pour autant savoir que derrière Tobby Rolland se cachait effectivement Michel Bussi ! La surprise fut donc de taille au moment de la révélation, et je ne suis pas peu fière d’avoir été à l’origine de sa première dédicace sous ce pseudonyme à Gradignan l’an dernier !
Mais dès lors il n’était plus possible pour moi d’ignorer sa bibliographie plus longtemps ! De mémoire j’ai donc enchaîné avec “Ne lâche pas ma main” qui était alors sa toute dernière publication, avant de remontrer le temps avec “Nymphéas Noirs” ainsi que ses précédents titres que j’avais eu la chance de pouvoir dénicher auprès de ma bibliothèque… Chaque fois le plaisir de lecture fut le même, l’auteur se montrant toujours à la fois simple et efficace, captivant et distrayant… C’est donc en toute logique que je me suis même procurée les éditions dérivées/illustrées depuis : Ainsi en est-il pour “Code Lupin” sur lequel je me suis ruée à Etretat en visitant la maison de Maurice Leblanc ! Depuis lors j’ai savouré chaque nouvelle parution de Michel Bussi et n’ai pas manqué un seul de ses rendez-vous en librairie, exception faite pour “T’en souviens-tu, mon Anaïs ?” que j’ai dans ma bibliothèque mais que je n’ai toujours pas lu sans que je ne puisse m’en expliquer… Bientôt peut-être !
Je l’ai même été à l’insu de mon plein gré pour “La dernière licorne“, que j’ai eu la chance de pouvoir découvrir dès sa sortie, sans pour autant savoir que derrière Tobby Rolland se cachait effectivement Michel Bussi ! La surprise fut donc de taille au moment de la révélation, et je ne suis pas peu fière d’avoir été à l’origine de sa première dédicace sous ce pseudonyme à Gradignan l’an dernier !
Quelques mots d’actu…
Une actualité que nombre d’entre vous doit déjà connaître… Et même avoir lu ! Ainsi “Au Soleil redouté“, le nouveau thriller de Michel Bussi vient de paraître aux Presses de la Cité le 06 février dernier, vous pourrez d’ailleurs en retrouver ma chronique juste ICI. A cette même date est également paru “J’ai dû rêver trop fort” dans sa version Pocket. Et en parlant des éditions Pocket, j’aimerais d’ailleurs ajouter qu’il participe régulièrement au recueil de nouvelles “13 à table” au profit des Restos du Coeur, comme ce fut le cas pour la dernière édition parue fin 2019…
Quelques mots de conclusion…
Mes amis je suis ravie d’avoir pu vous parler de cet auteur que je suis maintenant depuis quelques années… Ravie d’avoir su passer outre sa notoriété pour me forger ma propre opinion et ainsi découvrir un auteur aussi distrayant que passionnant, je ne saurais que trop vous inviter à plonger à votre tour dans sa bibliographie… Si je devais vous conseiller un titre pour commencer… J’hésiterais entre :
– “Un avion sans elle“, titre par lequel je l’ai moi-même découvert et dont je garde un excellent souvenir !
– “Au Soleil redouté“, son dernier et le dernier que j’ai lu de sa bibliographie, parce qu’il m’a baladé à plus d’un titre !
Si d’aventure je vous ai convaincus de vous laisser tenter : Je vous remercie bien chaleureusement pour votre confiance et vous en souhaite une bonne lecture désormais… Mais surtout n’hésitez pas à revenir m’en parler !