Septembre est arrivé… Le Club de Lecture Virtuel fait sa rentrée !

Mes petits Bookinautes adorés… A l’image de cette année difficile, mon été fut pour le moins… Riche en lectures mais particulièrement chaotique ! Fort heureusement les vacances sont arrivées et avec elles un peu de repos bien mérité, ce qui m’a permis de me ressourcer pour mieux vous revenir en cette rentée : Espérons que ces derniers mois nous soient plus favorables, paisibles et heureux… A tout le moins, je vous le promets : Ils seront littéraires, parole de lectrice passionnée !
Mais assez bavardé : Nous avons du bouquin sur la planche, des lectures à nous raconter… Parce que le Club de lecture fait lui aussi sa rentrée, déterminé à boucler sa dernière session pour en démarrer une nouvelle, et ce sans vous faire courir le moindre risque sanitaire du fait de sa virtualité : Bienvenue dans mon petit coin de paradis blogulaire !
Cet été… Je découvre un primo-romancier !” Telle était la thématique qui vous était proposée le 05 juillet dernier… Laquelle vous a grandement inspirés puisque nous étions 14 inscrits pour une saison estivale de toute beauté ! Si trois d’entre nous n’ont malheureusement pas réussi à boucler l’aventure, nous sommes tout de même onze lecteurs enthousiastes et impatients de partager avec vous notre expérience littéraire : Vous êtes prêts ? Alors je vous laisse à présent découvrir ces petites lectures dénichées en librairie…
  • M’octroyant le petit privilège de lancer une nouvelle fois ces festivités littéraires, j’ai pour ma part choisi de me plonger dans la lecture de “Sept mensonges“, un premier thriller signé Elizabeth Kay, paru en juin dernier aux éditions Robert Laffont dans la collection “La Bête Noire“…

4ème de couverture : Tout a commencé par un mensonge. Un tout petit mensonge… Jane et Marnie sont inséparables depuis l’enfance. Et si Jane avait été honnête depuis le début – si elle n’avait pas menti cette toute première fois –, alors peut-être que les choses auraient pu tourner autrement. Peut-être que le mari de sa meilleure amie serait encore en vie. Le temps est venu pour Jane de dire la vérité, enfin… sa vérité. Tandis qu’elle se confie et décortique les sept mensonges qu’elle a racontés à Marnie, chacun plus terrible que le précédent, elle révèle les couches de noirceur qui ont infiltré leur amitié et les secrets toxiques qui remuent sous la surface. Mais une vérité peut toujours en cacher une autre…

Pourquoi avoir choisi ce titre ? Par le plus grand des hasards, je vous l’avoue en toute honnêteté ! C’est en furetant dans les allées de la belle Maison de la Presse du Touquet le 10 juillet dernier que j’ai repéré ce bouquin dont l’apparence m’a immédiatement attirée ! Le résumé m’intrigue énormément… Et la mention “Elizabeth Kay est éditrice à Londres et se consacre en parallèle à sa passion pour l’écriture. Sept mensonges est son premier thriller.” m’a définitivement persuadée : J’avais trouvé ma lecture pour ce Club de Lecture Virtuel !
 
Qu’as-tu pensé de cette lecture ? Outre le fait que l’objet livre est absolument original, élégant et très réussi, j’ai passé un bon moment de lecture en compagnie de Jane et de Marnie. L’autrice a su nous proposer des personnages relativement bien étoffés pour nous offrir un thriller psychologique fort bien pensé. Si certains passages m’ont laissée un brin perplexe de par leur intérêt, il n’en demeure pas moins que je me suis laissée happer par cette lecture, m’empêtrant moi-même dans cette déroutante spirale mensongère. La narration a été judicieusement pensée pour se faire plus prenante, plus troublante… A l’image de cette intrigue qu’on se plaît à découvrir !
  • Parce qu’une Aurélie peut en cacher une autre, je cède à présent la place à… Aurélie donc, charmante lectrice que je prends plaisir à retrouver au fil des sessions ! Pour celle qui nous occupe, Aurélie a opté pour “Sauvage” de Jamey Bradbury, paru l’an dernier aux éditions Gallmeister

4ème de couverture : À dix-sept ans, Tracy Petrikoff possède un don inné pour la chasse et les pièges. Elle vit à l’écart du reste du monde et sillonne avec ses chiens de traîneau les immensités sauvages de l’Alaska. Immuablement, elle respecte les trois règles que sa mère, trop tôt disparue, lui a dictées : «ne jamais perdre la maison de vue», «ne jamais rentrer avec les mains sales» et surtout «ne jamais faire saigner un humain». Jusqu’au jour où, attaquée en pleine forêt, Tracy reprend connaissance, couverte de sang, persuadée d’avoir tué son agresseur. Elle s’interdit de l’avouer à son père, et ce lourd secret la hante jour et nuit. Une ambiance de doute et d’angoisse s’installe dans la famille, tandis que Tracy prend peu à peu conscience de ses propres facultés hors du commun.

Pourquoi avoir choisi ce titre ? J’ai découvert ce roman grâce aux réseaux sociaux. Intriguée par le résumé de ce roman et motivée par les bonnes critiques lues, je me suis laissée tenter par ce roman qui s’annonçait énigmatique et surprenant…. J’étais loin du compte en matière de surprises !
 
Qu’as-tu pensé de cette lecture ? Ce roman me laisse une impression mitigée. En effet, de nombreuses de questions restent sans réponses à la fin de l’histoire. Même si cela permet au lecteur d’imaginer la suite, j’ai beaucoup de mal avec les fins ouvertes. Ensuite, la narration est particulière, pas du tout linéaire. On saute du présent au passé assez régulièrement et il y a peu de marqueurs de temps nous l’indiquant. De plus, les dialogues ne sont pas clairement marqués mais rapportés au style indirect, ce qui peut être déstabilisant. La petite dose de surnaturel ne m’a pas séduit, même si elle amène une particularité supplémentaire à Tracy. Le suspense est en permanence présent, l’atmosphère crée autour de cette histoire est oppressante et nous incite à nous tenir sur nos gardes. Pour terminer, sur le plan émotionnel, ce roman est fort car il nous montre la force du lien à la nature et le besoin vital qu’elle représente pour certains. Les émotions sont retranscrites avec force et elles vous submergent, sans que vous vous en rendiez compte !
  • Autre charmante habituée de mon petit Club de Lecture Virtuel, c’est avec une joie sincère que j’ai vu ma chère Hamida rempiler pour une session supplémentaire ! J’en profite pour la remercier pour sa confiance sans cesse renouvelée et la laisse à présent vous parler de “Rubiel e(s)t moi“, un roman de Vincent Lahouze paru en 2018 aux éditions Michel Lafon

4ème de couverture : Une nouvelle voix unique. “Si je devais me souvenir d’une chose, d’une seule chose, ce serait la vision des murs gris de l’Orphelinat du Bienestar de Medellin et des portes qui claquaient lorsque nous courions dans les couloirs, le bruit sourd de mes pieds nus sur le parquet de bois délavé et poussiéreux. Oui, d’aussi loin que je me souvienne, la couleur n’existait pas. Je suis né en Colombie, à la fin de l’année 1987, mais je n’ai commencé à vivre qu’en 1991.”

Pourquoi avoir choisi ce titre ? A vrai dire je ne sais pas trop… De mémoire il me semble que tu en as parlé récemment et le titre m’avait marquée. En manque d’inspiration, j’ai vu passer une publication de l’auteur parlant de son “second” roman… C’est donc que celui-ci était un premier roman, et ta chronique m’a définitivement convaincue de lire celui-là ! ^^
 
Qu’as-tu pensé de cette lecture ? Je dois admettre que je ne m’attendais pas à une telle lecture, pensant découvrir une lecture plus… “Autobiographie”. Cela étant, j’ai beaucoup aimé ce premier roman, que j’ai trouvé très bien construit et vraiment touchant, émouvant… Je dirais même poignant à certains moments. J’ai découvert une plume qui manque peut-être un peu de maturité mais qui sait être sincère et authentique : C’est l’âme même du roman, qui reflète sans doute celle de l’auteur et j’ai vraiment beaucoup aimé… Je lirai son prochain avec plaisir !
  • Adorable fidèle parmi les fidèles de mon Club de Lecture et plus largement de mon blog, je sais pouvoir compter sur le soutien indéfectible de ma très chère Corinne comme ce fut encore le cas tout au long de l’été, ce dont je tiens encore une fois à la remercier ! Pour cette session, Corinne a décidé de nous parler du livre “Un deal pas très catholique” de Sophie Lim, un premier roman paru en autoédition l’an dernier avec Librinova

4ème de couverture : Julie, élève de terminale de 18 ans, travaille secrètement comme serveuse dans un club de strip-tease. Théodore, un garçon de son lycée beau mais sadique, s’y rend un soir avec un ami. Pour s’amuser, il se montre entreprenant et tactile avec elle, sans se rappeler qu’il l’insulte régulièrement lorsqu’il la percute avec son skate ou ses rollers dans les couloirs de l’école. Pour l’éconduire, Julie lui donne un faux nom et un faux numéro de téléphone, ce qu’il ne tarde pas à découvrir. Pour se venger et éviter un mariage arrangé avec Alix, une fille de sa classe qu’il utilise comme sex friend à côté de ses conquêtes, Théodore va proposer à Julie un deal difficile à refuser : il taira son secret si elle accepte de se faire passer pour sa fiancée. Découvrez une romance mêlant humour et coups bas, et qui s’inscrit dans la lignée des shojos matures avec sa part d’érotisme.

Pourquoi avoir choisi ce titre ? Ce thème que tu as choisi ne pouvais pas mieux tomber. J’ai acheté, à la fin du confinement, plusieurs premiers romans d’auteurs. J’ai choisi ces livres grâce aux réseaux sociaux (chronique ou post des auteurs eux-mêmes). Après avoir parlé de “Ravage” pour ton précédent club de lecture, j’enchaine avec “Un deal pas très catholique”.
 
Qu’as-tu pensé de cette lecture ? C’est un premier roman plutôt prometteur. L’histoire est bien menée, avec plusieurs rebondissements auxquels on s’attend plus ou moins. L’orthographe et la syntaxe sont parfaites, ce qui n’est pas toujours le cas avec l’autoédition. Le style est un peu jeune mais ça semble normal pour un premier roman. Certains échanges entre les personnages sont plutôt naïfs. Par contre, je dois le dire, quelque chose m’a vraiment énervée dans ce livre : dès le début du roman, Théo surnomme Julie « crétine » et ce mot est répété tellement de fois dans le roman que ça en devient insupportable. C’est le seul gros bémol du livre. 
  • Si mon Club de Lecture Virtuel réunit donc un grand nombre d’habitués, n’allez tout de même pas croire qu’il en est fermé, bien au contraire : Il prend plaisir à accueillir de nouveaux aventuriers, aussi c’est avec un bonheur certain que je laisse à présent la parole à Sophie, nouvelle recrue du Club ayant choisi pour sa première participation de découvrir “Sous le soleil de mes cheveux blonds” d’Agathe Ruga, initialement paru aux éditions Stock et désormais disponible chez Livre de Poche
4ème de couverture : L’une est blonde, secrète et bourgeoise. Au lycée, on la surnomme Brigitte. L’autre, extravertie et instable, répond au nom de Brune. Toutes deux sont encore des jeunes filles pleines d’avenir. Traversant les années folles de la jeunesse, elles découvrent ensemble la joie d’aimer, de danser, de rire et de boire jusqu’au petit matin en rêvant à leurs destins de femmes. Mais un étrange jour d’été, tout s’arrête brusquement. Sans donner aucune explication, Brigitte rompt leur amitié et disparaît.
Les années passent mais n’effacent pas la douleur de l’absence. Lorsque Brune tombe enceinte, elle ressent le besoin de comprendre.
Avec brio, Agathe Ruga explore une tranche de vie aussi enivrante que violente, celle des premières fois, de l’éveil de la féminité, du passage à l’âge adulte et des désillusions, jusqu’à la délivrance.
 

Pourquoi avoir choisi ce titre ? Je vous suite toutes les deux, toi et Agathe sur les réseaux sociaux, c’est d’ailleurs un plaisir de vous voir partager votre passion comme vous le faites ! Cela fait un moment que je voulais tenter ma chance et participer à ton Club, et j’ai immédiatement pensé à ce titre en découvrant le dernier thème : je me suis inscrite !

Qu’as-tu pensé de cette lecture ? Que c’est un beau premier roman dans lequel on reconnaît bien Agathe, la blogueuse que je suis depuis un moment, parce que l’écriture est belle, fluide, sensible. Ce n’est clairement pas un coup de cœur car j’ai trouvé que l’intrigue manquait un peu de profondeur et que je n’ai pas vraiment réussi à m’attacher aux personnages, cela reste tout de même une belle découverte et un bon moment de lecture. Si Agathe renouvelle l’expérience, je découvrirai volontiers son prochain roman.
  • Autre grande habituée de mon petit Club de Lecture Virtuel que je retrouve toujours avec joie et bonheur au fil des sessions, c’est la très charmante Valérie, alias Sally sur les réseaux sociaux ! Elle-même tient un Club de Lecture, bien réel celui-ci, en région parisienne ainsi qu’un blog littéraire que je vous invite à découvrir par ICI ! Et cette fois-ci Valérie a décidé de se plonger dans la lecture de “Tangerine” de Christine Mangan, paru l’an dernier aux éditions Harper Collins
4ème de couverture : Tanger, 1956. Alice Shipley n’y arrive pas. Cette violence palpable, ces rues surpeuplées, cette chaleur constante  : à croire que la ville la rejette, lui veut du mal. L’arrivée de son ancienne colocataire, Lucy, transforme son quotidien mortifère. Ses journées ne se résument plus à attendre le retour de son mari, John. Son amie lui donne la force d’affronter la ville, de sortir de son isolement.
Puis advient ce glissement, lent, insidieux. La joie des retrouvailles fait place à une sensation d’étouffement, à la certitude d’être observée. La bienveillance de Lucy, sa propre lucidité, tout semble soudain si fragile… surtout quand John disparaît.
Avec une Tanger envoûtante et sombre comme toile de fond, des personnages obsessionnels apprennent à leurs dépens la définition du mot doute.
 
Pourquoi avoir choisi ce titre ? Ce roman a bénéficié de bonnes critiques et d’un bandeau très attractif signé Joyce Carol Oates qui évoque Patricia Highsmith et Alfred Hitchcock, entre autres. Dans ces conditions, comment ne pas résister à un titre aussi enjôleur que celui de ce fruit exotique ?
 
Qu’as-tu pensé de cette lecture ? Deux amies qui se retrouvent à Tanger loin des Etats-Unis où est née leur amitié pendant leurs études. Deux amies dont la dernière rencontre est entourée d’un douloureux secret.
Deux narratrices pour une histoire, deux versions qui s’affrontent dans une atmosphère mystérieuse et envoutante.
Ce roman a été salué de part et d’autre et je dois reconnaître que j’ai été déçue. J’en attendais probablement trop.
Il est vrai que l’intrigue est bien menée mais le rythme est lent d’autant plus que je n’ai pas été saisie par l’exotisme de l’ambiance. 
On est loin de Patricia Highsmith souvent évoquée dans les chroniques mais c’est un bon début.
  • Parmi mes adorables petits habitués, j’ai aussi la chance et le plaisir de retrouver l’adorable Aurore, laquelle tient également un blog littéraire que vous pourrez retrouver ICI ! En parfaite multirécidiviste du Club, celle-ci a choisi de découvrir “Merveilleuses chimères“, un premier roman signé Florence Desclaux paru en juillet dernier aux éditions de la Châtaigneraie
 
4ème de couverture : La cité de Cocagnia, où machines à vapeur et électricité se côtoient, vit protégée sous un immense dôme à ciel ouvert pour échapper aux pollutions de l’extérieur. C’est là qu’Isaac Palmer, commissaire, retrouve le corps de Gladys Gold, perforé de coups de tournevis.
Dans le wagon d’un train qui file vers l’ouest, une fille aux cheveux rouges fuit la ville industrielle d’où elle a dû s’arracher. Physalis Morrigan ne reviendra jamais à Cocagnia.
Quelque temps plus tôt, elle y avait intégré une équipe de jeunes apprentis pour remettre en état une machine en panne depuis vingt ans, pour l’entreprise de la DK. Jusqu’à ce qu’un fantôme vienne la hanter, Physalis croyait tout contrôler…
 
Pourquoi avoir choisi ce livre ? J’ai été très intriguée par ce livre qui vient juste de sortir aux Éditions de la Chataigneraie. Un polar fantastique steampunk, voilà qui est original et intrigant !
J’ai eu la chance de pouvoir le découvrir en service presse et je me suis empressée d’attaquer ce gros pavé de presque 600 pages.
 
Qu’as-tu pensé de cette lecture ? Un grand whaou  pour ce livre qui m’a bluffée par son originalité et sa capacité à me tenir en haleine.
Au début du livre on est un peu perturbé pour déceler l’intrigue principale : le meurtre de Gladys? Les mystères de la DK ? Ce monde pollué à l’extrême où l’on ne peut vivre que grâce à des masques à gaz en dehors de la bulle protectrice où vivent les privilégiés ?
Mais rapidement les choses se mettent en place et, une fois lancée, l’histoire nous captive, nous fascine et nous horrifie à la fois. On n’arrive plus à lâcher le livre tant on a envie de savoir jusqu’où ira la DK et quels inavouables secrets Physalis et Solan vont découvrir.
Un livre avec un grand sens du détail qui nous permet de nous immerger totalement dans l’histoire et avec une créativité folle !
  • Une autre charmante lectrice qui me fait la joie de récidiver pour cette session consacrée aux primo-romanciers, c’est l’adorable Marie, petite habituée du Club qui a décidé de découvrir pour l’occasion “Tout le bleu du ciel” de Mélissa Da Costa, initialement paru aux éditions Carnets Nord et maintenant disponible chez Livre de Poche
4ème de couverture : Petitesannonces.fr : Jeune homme de 26 ans, condamné à une espérance de vie de deux ans par un Alzheimer précoce, souhaite prendre le large pour un ultime voyage. Recherche compagnon(ne) pour partager avec moi ce dernier périple.
Émile a décidé de fuir l’hôpital, la compassion de sa famille et de ses amis. À son propre étonnement, il reçoit une réponse à cette annonce. Trois jours plus tard, devant le camping-car acheté secrètement, il retrouve Joanne, une jeune femme coiffée d’un grand chapeau noir qui a pour seul bagage un sac à dos, et qui ne donne aucune explication sur sa présence.
Ainsi commence un voyage stupéfiant de beauté. À chaque détour de ce périple naissent, à travers la rencontre avec les autres et la découverte de soi, la joie, la peur, l’amitié, l’amour qui peu à peu percent la carapace de douleurs d’Émile.
 
Pourquoi avoir choisi ce titre ? J’ai choisi ce titre à force d’en entendre parler et de lire de bonnes critiques à son sujet. Et le thème du Club de lecture de l’été s’y prêtait parfaitement : Je ne pouvais plus reculer !
 
Qu’as-tu pensé de cette lecture ? C’est un beau roman, c’est une belle histoire… Non, je ne chante pas mais c’est vraiment mon sentiment en refermant ce livre. Quoique un peu long peut-être, j’ai trouvé ce premier roman vraiment beau et touchants, ses personnages attachants et émouvants… Ce n’est pas non plus le coup de coeur qu’on m’avait promis, probablement parce que j’en espérais trop et que je l’ai trouvé un peu long mais c’est plein d’humanité et j’ai passé un super moment : Je recommande !
  • Vient maintenant le tour des membres de ma DreamBookTeam, la seule et l’unique, en commençant avec Franck, mon compagnon qui a décidé de lire “Dans son silence” un roman signé Alex Michaelides, initialement paru aux éditions Calmann Levy et maintenant disponible chez Livre de Poche
4ème de couverture : Alicia, jeune peintre britannique en vogue, vit dans une superbe maison près de Londres avec Gabriel, photographe de mode. Quand elle est retrouvée chez elle, hagarde et recouverte de sang devant le cadavre de son mari défiguré, la presse s’enflamme. Aussitôt arrêtée, Alicia ne prononce plus le moindre mot, même au tribunal. Elle est jugée mentalement irresponsable et envoyée dans une clinique psychiatrique.
Six ans plus tard, le docteur Theo Faber, ambitieux psychiatre, n’a qu’une obsession : faire reparler Alicia. Quand un poste se libère dans la clinique où elle est internée, il réussit à s’y faire embaucher et entame avec elle une série de face-à-face glaçants dans l’espoir de lui extirper une parole. Alors qu’il commence à perdre espoir, Alicia s’anime soudain. Mais sa réaction est tout sauf ce à quoi il s’attendait…
 
Pourquoi avoir choisi ce livre ? Repéré à sa sortie initiale, j’ai retrouvé ce livre lorsqu’il est paru dans son édition aux éditions Livre de Poche. J’en ai entendu et vu de bonnes critiques et je l’ai trouvé au “Camion qui Livre” au Touquet peu de temps après le lancement du Club.
 
Qu’as-tu pensé de cette lecture ? C’est un thriller psychanalytique qui vous laissera pantois et abasourdi tellement la fin est inattendue et explosive.
L’auteur y mêle la psychologie, les arts et les tragédies grecques. La construction est implacable et l’auteur joue avec nos nerfs mais on plonge dedans, et on ne pose pas ce livre avant de connaître la fin. Qui manipule qui ?
Les chapitres sont courts et se succèdent à un rythme effréné… Certainement qu’après ce très bon moment de lecture, vous lirez “Alceste” d’Euripide !
  • Vient ensuite le tour de ma Maman Roseline, elle aussi grande habituée de ce Club de lecture, qui a choisi pour celui-ci de découvrir “Une mère juive ne meurt jamais” de Patrice Abbou, paru aux éditions Plon
4ème de couverture : Les Molina n’ont pas le droit de sortir, de se laver, de se changer, de se parfumer et encore moins de travailler… pendant sept jours, comme le veut la tradition.
Ils sont en deuil de leur mère Louise.
Adam Molina, 40 ans, le plus jeune des quatre enfants, avait prévu de repartir le lendemain de l’enterrement. Mais devant la pression de son père et de son frère aîné Henri, il est contraint de rester. D’autant plus qu’il a une mission, la dernière volonté de sa mère : trouver un mari à Lucie, sa sœur.
Dans ce huis clos caustique et haut en couleur, les émotions s’entremêlent, entre tendresse, culpabilité et rancœur.
 
Pourquoi avoir choisi ce titre ? J’aime bien participer au Club de lecture mais je manque souvent d’idées. Comme toujours je t’ai donc demandé ce que tu pouvais me suggérer, tu m’as immédiatement conseillé ce livre qui était l’un de tes coups de coeur de ce début d’année. J’ai donc suivi ton conseil, et je ne l’ai pas regretté !
 
Qu’as-tu pensé de cette lecture ? C’est un magnifique premier roman dans lequel j’ai tout aimé : L’histoire, les personnages, la plume de l’auteur. C’est un roman doux, drôle et émouvant. C’est une belle histoire pleine d’humanité et c’est avec un pincement au cœur qu’on quitte cette famille à laquelle on s’est tant attaché. Merci à l’auteur pour ce beau moment de lecture et merci à toi pour la découverte !
 
  • Last but not least, c’est à ma meilleure amie Laura qui revient la lourde tâche de clôturer ce bilan ! Pour l’occasion elle a choisi de se plonger dans la lecture de “Pour Camille” de Kévin François, un roman paru aux éditions 7Ecrit
4ème de couverture : « Pour Camille » raconte l’histoire de Jonathan, un jeune homme d’une vingtaine d’années qui est amoureux d’une camarade de classe prénommée Camille. (D’où le titre). Maladroit et timide, le héros a quelques difficultés à exprimer ses sentiments mais le jour où il y parvient, il découvre que Camille ne veut absolument pas de lui.
Quelques temps plus tard, lors d’une sortie en forêt, le personnage principal fait la découverte d’un tombeau abandonné qui contient les restes d’un ancien sorcier du Moyen-Âge. Jonathan s’approche des ossements sans savoir que ceux-ci contiennent toujours les pouvoirs endormis du défunt sorcier qui attendent la venue d’un nouvel hôte.
D’un seul coup et malgré lui, le héros récupère les pouvoirs du sorcier. Il mesure très vite un nouveau potentiel et se dit qu’il pourrait se servir de ses pouvoirs pour montrer à Camille qu’elle s’est peut-être trompée à son sujet. Va-t-il y parvenir?
Pourquoi avoir choisi ce titre ?
En fait il dormait dans ma PAL depuis un moment, il s’agissait d’un cadeau d’anniversaire et je n’avais jamais pris le temps de le lire . Le club de lecture virtuel était tout donc l’occasion rêvée de découvrir enfin ce premier roman de ce jeune auteur.
 
Qu’as-tu pensé de cette lecture ? Je me suis laissée prendre au jeu des différentes techniques (surnaturelles ou pas) du personnage pour parvenir à ses fins. C’est un premier roman, donc il y’a quelques maladresses bien sûr, mais on les oublie vite. Personnellement je me suis davantage identifiée au personnage de Camille que celui de Jonathan, mais le principal reste que les personnages sont bien dépeints et qu’on apprend à les connaître. Preuve que ce roman fonctionne : on se demande si la situation de la fin peut fonctionner et on aimerait en savoir plus.
Je dirai cependant que, par les thèmes et par l’âge des personnages, c’est un roman qui conviendrait très bien pour des ados.
 
Ainsi s’achève cette session estivale du Club de Lecture Virtuel… Au risque de me répéter, ce que je ne manquerai sans doute pas de faire en clôturant chaque session car c’est amplement mérité : MERCI, oui merci pour votre fidélité, votre assiduité, votre enthousiasme et votre soutien, peu importe les folles tribulations livresques dans lesquelles j’essaie de vous embarquer ! C’est un immense atout que de pouvoir compter sur une communauté de lecteurs aussi présente et aussi forte, alors oui : Merci pour tout !
Et parce qu’il me tient à cœur de vous gâter en vous régalant toujours plus de lecture, j’ai une fois encore procédé à un petit tirage au sort parmi les participants de cette session, et l’heureux élu dont le nom s’affiche ci-dessous gagne donc le livre de son choix parmi ce bilan : Toutes mes félicitations et un immense bravo à tous !
 
 
Le Club de Lecture Virtuel de l’été est à présent terminé… Vive le Club de Lecture Virtuel de la Rentrée ! Vous l’aurez compris mes petits Bookinautes chéris, c’est donc une nouvelle session qui s’ouvre aujourd’hui autour du thèmes suivant :
 
Pour la rentrée, je prends un prénom pour titre !
 
Vous connaissez le thème… A présent prenons connaissance des petites règles à respecter :

 – On s’inscrit par mail jusqu’au  20 septembre 2020 à l’adresse suivante : aurelie.deslivresetmoi7@gmail.com

– On bouquine
– On répond aux deux petites questions…
     * Pourquoi avoir choisi ce titre ?
     * Qu’as-tu pensé de cette lecture ?
Le tout en un maximum de dix lignes transmises par mail à la même adresse au plus tard le 1er novembre 2020 !

– On se retrouve le samedi 07 novembre 2020 pour un nouveau bilan… Et un nouveau thème pour la session suivante !

Il me tarde à présent de recevoir vos mails et découvrir vos idées pour ce nouveau Club pour lequel je vous attends plus enthousiastes et motivés que jamais ! A présent mes petits Bookinautes adorés, je vais préparer ma propre rentrée prévue demain… Je vous souhaite une belle soirée… Et de belles lectures à n’en point douter !

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