Le Club de Lecture Virtuel vous accompagne avec l’arrivée du printemps !

Mes petits Bookinautes chéris… Si j’avoue avoir pu désespérer de parvenir enfin à laisser cette fichue crise sanitaire derrière nous, cela n’a fort heureusement duré qu’un temps : Poser un genou à terre, c’est bien… Mais se relever ensuite, c’est mieux ! Aussi je ne lâcherai rien, non rien de rien et je poursuivrai mes livresques aventures… A commencer par ce Club de Lecture !

Un Club de Lecture pour lequel nous nous sommes retrouvés début janvier autour d’un nouveau thème, sans doute le plus complexe que j’ai pu vous proposer depuis le début de ces virtuelles festivités : “La littérature est un art… Conjugue-le à un autre !” Un thème qui a tout de même su vous inspirer puisque c’est à dix que nous nous sommes lancés à la recherche d’une belle lecture ! Si deux de mes BookClubbers ont malheureusement dû renoncer, l’une pour des soucis de santé – et j’en profite d’ailleurs pour lui souhaiter un prompt rétablissement ! – l’autre par manque de temps, nous sommes donc huit à franchir la ligne d’arrivée littéraire !

Je ne m’attarde pas davantage en présentation : Il est temps désormais de découvrir les titres que ce thème nous a inspirés…

Trop heureuse de la voir nous rejoindre pour prendre part à cette belle aventure – et j’en profite d’ailleurs pour lui souhaiter la bienvenue ! -, je laisse volontiers la parole à ma très chère Aurore J., lectrice assidue et précieux soutien de mon blog, pour démarrer ce bilan avec “Les heures silencieuses“, un roman de Gaëlle Josse paru en 2018 aux éditions Autrement et désormais disponible au format poche aux éditions J’ai Lu

4ème de couverture :
Delft, novembre 1667. Magdalena Van Beyeren se confie à son journal intime. Mariée très jeune, elle a dû renoncer à ses rêves d’aventure sur les bateaux de son père, administrateur de la Compagnie des Indes orientales. Là n’est pas la place d’une femme… L’évocation de son enfance, de sa vie d’épouse et de mère va lui permettre l’aveu d’un lourd secret et de ses désirs interdits. Inspiré par un tableau d’Emmanuel De Witte, ce premier roman lumineux, coup de cœur des lecteurs et de la presse, dessine le beau portrait d’une femme droite et courageuse dans le peu d’espace qui lui est accordé.

Pourquoi avoir choisi ce livre ?
Quand j’ai lu le thème du club de lecture, j’ai pensé immédiatement à “La jeune fille à la perle” de Tracy Chevalier. Mais je voulais me lancer dans une nouvelle lecture et non dans une relecture. Je me suis donc laissée porter par les conseils de ma libraire qui n’a pas été avare de compliments pour ce court récit.

Qu’as tu pensé de cette lecture ?
À l’instar de ma libraire, j’ai été particulièrement touchée par ce livre. Il s’agit d’un roman court, rédigé à la première personne avec une écriture soignée. Je me suis immédiatement attachée à Magdalena Van Beyeren, la femme de l’administrateur de la compagnie des Indes orientales, qui nous conte sa vie et l’histoire du tableau reproduit en couverture. J’ai passé un beau moment de lecture que je n’hésiterai pas à renouveler avec un autre livre de Gaëlle Josse.

Autre fidèle mais grande habituée de ce petit Club de Lecture Virtuel, c’est avec un immense plaisir que je retrouve ma très chère Corinne, laquelle a choisi de se plonger dans “Opus 77“, un roman d’Alexis Ragougneau paru en 2019 aux éditions Viviane Hamy et désormais disponible au Livre de Poche

4ème de couverture :
Lors de la messe de funérailles d’un célèbre chef d’orchestre, sa fille, Ariane, pianiste de renommée internationale, entame contre toute attente une œuvre écrite pour violon et orchestre : l’Opus 77 de Chostakovitch. Tous ceux qui comptent dans le monde de la musique classique sont réunis. Tous, sauf David Claessens, le fils, violoniste prodige en son temps et désormais reclus dans un bunker. Pendant qu’elle joue, Ariane se souvient : son enfance avec son frère dans cette famille vouée à la musique, l’exigeant apprentissage du piano pour l’une, du violon pour l’autre, leur relation complexe avec leur père, la lente destruction de leur mère, chanteuse lyrique peu à peu réduite au silence… Et surtout les pièges de la dévorante célébrité, la pression et la peur de faillir, la compétition impitoyable et les règles d’un microcosme qui ne tolère aucune déviance à ses normes.

Pourquoi avoir choisi ce titre ?
Aucun des livres de ma PAL ne correspondait à ton thème, je me suis donc rendue chez ma libraire. Après avoir longuement arpenté les rayons, lu de nombreux résumés et discuté avec elle (ma libraire), je me suis décidée pour deux titres. N’arrivant pas à choisir entre les deux, je t’ai demandé ton avis… Et voilà !

Qu’as-tu pensé de cette lecture ?
Mon avis est assez mitigé. Dans l’ensemble, l’histoire est agréable, bien déroulée. Cependant il m’a manqué quelque chose, on arrive un peu vite à la fin. Il manque aussi, pour moi, toute une partie de l’histoire de la mère, Yaël. Comment en est-elle arrivé là ? De plus, le passage entre les différentes époques de la vie de la famille Claessens n’est pas toujours très clair. J’ai quelques fois eu du mal à m’y retrouver.
Par contre, j’ai beaucoup aimé le ton de la narration : ce drame familial est raconté de façon ironique, piquante même. Pour dédramatiser ? J’ai aussi vraiment apprécié le style d’écriture de l’auteur. Et comme, je n’aime pas rester sur une déception, je vais assez rapidement me procurer un de ses romans policiers.

Parce que je ne suis pas peu fière de compter de nombreuses habituées pour ce petit Club de Lecture Virtuel, j’ai le bonheur de laisser ensuite la parole à ma très chère Valérie… Voilà plus d’un an que je ne l’ai pas revue… Presque dans une autre vie au cours de laquelle nous n’avions pas conscience de notre chance de pouvoir facilement nous retrouver… Bref, Valérie est plus connue sous le nom de Sally sur les réseaux sociaux ! Pour l’occasion, cette adorable lectrice et blogueuse a choisi de découvrir “La petite danseuse de quatorze ans“, un roman de Camille Laurens paru en 2017 aux éditions Stock et désormais disponible au format poche chez Folio

4ème de couverture :
Elle est célèbre dans le monde entier mais combien connaissent son nom ? On peut admirer sa silhouette à Washington, Paris, Londres, New York, Dresde ou Copenhague, mais où est sa tombe ? On ne sait que son âge, quatorze ans, et le travail qu’elle faisait, car c’était déjà un travail, à cet âge où nos enfants vont à l’école. Dans les années 1880, elle dansait comme petit rat à l’Opéra de Paris, et ce qui fait souvent rêver nos petites filles n’était pas un rêve pour elle, pas l’âge heureux de notre jeunesse. Elle a été renvoyée après quelques années de labeur, le directeur en a eu assez de ses absences à répétition. C’est qu’elle avait un autre métier, et même deux, parce que les quelques sous gagnés à l’Opéra ne suffisaient pas à la nourrir, elle ni sa famille. Elle était modèle, elle posait pour des peintres ou des sculpteurs. Parmi eux il y avait Edgar Degas.

Pourquoi avoir choisi ce titre ?
Cela m’intéressait de découvrir l’enfant derrière la sculpture et il se trouve que j’aime la plume de cette autrice. L’occasion de faire d’une pierre deux coups.

Qu’as-tu pensé de cette lecture ?
C’est une sculpture célèbre d’Edgar Degas.
C’était aussi une jeune fille, petit rat à l’Opéra, travaillant ses entrechats et prenant la pose pour nourrir sa famille.
Ce récit est en trois parties : la place de la statue dans les courants artistiques de l’époque, le sculpteur, Marie la danseuse.
C’est passionnant : la contextualisation de l’environnement, qu’il soit littéraire, pictural ou sociétal, permet d’expliquer l’accueil négatif de l’œuvre lors de l’exposition en galerie en 1881 qui bien sûr diffère de ce que l’on peut aujourd’hui ressentir en observant la petite danseuse de quatorze ans.
C’est intelligent : l’autrice ne nous brosse pas la biographie de l’artiste mais dépeint l’homme, ses traits de caractères, ses particularités physiques, la nature de son mode de pensée à travers, notamment, des extraits de sa correspondance.
C’est touchant : on ne sait rien ou si peu de cette jeune fille issue d’un milieu très modeste. Pourtant, Camille Laurens arrive à l’incarner à travers ses recherches, son imagination, sa compassion.
Un petit livre que je n’attendais pas, une merveille de savoir et de style.

Autre grande lectrice et charmante habituée de ce petit Club de Lecture Virtuel, je suis ravie de retrouver Hamida pour ce nouveau bilan ! Elle a choisi cette fois-ci de ce plonger dans “Moi, ce que j’aime, c’est les Monstres“, un ouvrage graphique signé Emil Ferris paru en 2018 aux éditions Monsieur Toussaint Louverture

4ème de couverture :
Chicago, fin des années 1960. Karen Reyes, dix ans, adore les fantômes, les vampires et autres morts-vivants. Elle s’imagine même être un loup-garou: plus facile, ici, d’être un monstre que d’être une femme. Le jour de la Saint-Valentin, sa voisine, la belle Anka Silverberg, se suicide d’une balle dans le cœur. Mais Karen n’y croit pas et décide d’élucider ce mystère. Elle va vite découvrir qu’entre le passé d’Anka dans l’Allemagne nazie, son propre quartier prêt à s’embraser et les secrets tapis dans l’ombre de son quotidien, les monstres, bons ou mauvais, sont des êtres comme les autres, ambigus, torturés et fascinants. Journal intime d’une artiste prodige, Moi, ce que j’aime, c’est les monstres est un kaléidoscope brillant d’énergie et d’émotions, l’histoire magnifiquement contée d’une fascinante enfant. Dans cette œuvre magistrale, tout à la fois enquête, drame familial et témoignage historique, Emil Ferris tisse un lien infiniment personnel entre un expressionnisme féroce, les hachures d’un Crumb et l’univers de Maurice Sendak.

Pourquoi avoir choisi ce titre ?
Parce qu’il s’est imposé à moi, tout simplement ! J’avais beaucoup entendu parler de ce livre, sans savoir de quoi il était question. Mais quand j’ai vu “l’art” se glisser dans ton thème, je me suis dit que c’était le moment idéal pour découvrir le talent de son autrice et connaître enfin le fin mot de l’histoire !

Qu’as-tu pensé de cette lecture ?
Non mais… Quelle merveille ! Sans le savoir j’ai visé juste : Ce bouquin est une véritable œuvre d’art ! Non pas tant pour l’histoire, dans laquelle on se laisse tout de même facilement happer, que pour les dessins, des dessins au stylo Bic de toute beauté qui m’ont presque hypnotisée tout au long de ma lecture que j’ai vraiment savourée ! Habituellement je ne suis pas adepte de ce genre de livres mais j’ai vraiment adoré et j’attends maintenant le livre deux avec impatience !

Parce que j’ai la chance de pouvoir compter sur de nombreuses habituées tout aussi passionnées mais surtout très inspirées, j’ai maintenant le plaisir de retrouver Aurore F., grande lectrice et chroniqueuse qui a choisi pour ce thème de se plonger dans “Il était deux fois“, un roman de Franck Thilliez paru l’an dernier aux éditions Fleuve Noir

4ème de couverture :
En 2008, Julie, dix-sept ans, disparaît en ne laissant comme trace que son vélo posé contre un arbre. Le drame agite Sagas, petite ville au cœur des montagnes, et percute de plein fouet le père de la jeune fille, le lieutenant de gendarmerie Gabriel Moscato. Ce dernier se lance alors dans une enquête aussi désespérée qu’effrénée.
Jusqu’à ce jour où ses pas le mènent à l’hôtel de la Falaise… Là, le propriétaire lui donne accès à son registre et lui propose de le consulter dans la chambre 29, au deuxième étage. Mais exténué par un mois de vaines recherches, il finit par s’endormir avant d’être brusquement réveillé en pleine nuit par des impacts sourds contre sa fenêtre…
Dehors, il pleut des oiseaux morts. Et cette scène a d’autant moins de sens que Gabriel se trouve à présent au rez-de-chaussée, dans la chambre 7. Désorienté, il se rend à la réception où il apprend qu’on est en réalité en 2020 et que ça fait plus de douze ans que sa fille a disparu…

Pourquoi avoir choisi ce titre ?
J’avoue que le nouveau thème du club de lecture virtuel m’a laissée perplexe. J’avais plusieurs titres en tête mais tous déjà lu ! Et puis à la lecture du dernier Franck Thilliez, cela m’est apparu comme une évidence.
Si le choix de ce livre peut paraître en dehors du thème, l’auteur nous livre ici une intrigue autour du cerveau torturé d’artistes. La résolution de l’enquête mènera notre gendarme sur la piste d’un thriller, de peintures atroces…

Qu’as tu pensé de cette lecture ?
Encore une fois, Franck Thilliez a su me séduire avec sa plume et l’originalité de ses intrigues. L’auteur nous livre une enquête haletante qui nous mènera dans l’horreur que seul un cerveau torturé peut imaginer.
L’originalité de ce livre est d’inclure dans son histoire un de ses livres précédents, “Le manuscrit inachevé”. Sans nous dévoiler l’intrigue ou la résolution du précédent livre, l’auteur arrive encore à nous surprendre et à nous retourner le cerveau !
J’ai déjà hâte de me plonger dans un autre de ses livres.

Mon petit Club de Lecture Virtuel reste évidemment ouvert à tous et accueille bien sûr tous les lecteurs qui souhaitent y participer… Pour autant vous n’imaginez pas ma fierté de le voir regrouper autant d’habitués ! A présent j’ai donc le plaisir de laisser la parole à Marie, charmante petite lectrice qui a choisi pour l’occasion de découvrir “L’art du meurtre“, un roman de Chrystel Duchamp, paru l’an dernier aux éditions de l’Archipel et maintenant disponible en version poche…

4ème de couverture :
Quand les meurtres de riches collectionneurs sont mis en scène comme s’il s’agissait d’œuvres d’art, Audrey, jeune lieutenant à la PJ, est convaincue d’avoir affaire à un psychopathe d’un genre nouveau… Très bon accueil pour ce premier thriller de Chrystel Duchamp, qui nous convie dans le milieu de l’art contemporain… à la rencontre de nos pires cauchemars !
Franck Tardy, avocat à la retraite, est retrouvé dans son luxueux appartement du XVIe arrondissement. Il a été torturé, mutilé, puis assis à une table dressée pour un banquet. Un crime de toute beauté !
Dépêchée sur place, l’équipe de la PJ apprend que l’homme – un amateur d’art – fréquentait les clubs sadomasochistes de la capitale. Et que, malgré sa fortune, il était à court de liquidités.
Bientôt, le corps d’un autre collectionneur est découvert…
Pour Audrey Durand, cette enquête dans le monde de l’art contemporain sera-t-elle l’occasion de faire taire ses démons, ou se transformera-t-elle en un voyage aux confins de la folie ?

Pourquoi avoir choisi ce titre ?
Au départ le thème du Club de lecture ne m’inspirait pas… Je ne trouvais pas de titre… Et puis je suis (re)tombée sur celui-ci, tout juste paru en version poche ! Un livre que j’avais déjà repéré lors de sa sortie mais dont je trouvais la couverture… Franchement moche ! Ce qui n’est pas le cas cette fois-ci ! Il y a le mort “Art” dans le titre comme dans l’intrigue et c’est un polar : Parfait pour moi !

Qu’as-tu pensé de cette lecture ?
Et bien c’est une très belle surprise ! Je sais que l’autrice a écrit un autre livre dont j’ai entendu le plus grand bien et, après cette lecture, j’irai très certainement le lire aussi ! Si je ne m’attendais peut-être pas à tant de noirceur, force est de constater que c’est très bien pensé, très bien tourné, très bien écrit et très bien mené. L’intrigue est très prenante et j’ai passé un très bon moment de lecture : Merci à l’autrice comme à toi de m’avoir permis cette découverte !

C’est à présent au tour de ma chère Maman Roseline de partager avec nous son avis pour ce Club de Lecture Virtuel ! L’unique membre de ma DreamBookTeam à s’être laissée convaincre par ce thème s’est plongée dans la lecture de “La drolatique histoire de Gilbert Petit-Rivaud“, un roman de Frédéric Révérend paru en 2016 aux éditions Lajouanie

4ème de couverture :
1906 : Gilbert Petit-Rivaud, artiste-peintre parisien, s’installe à Giverny. Son rêve : approcher le déjà illustre Claude Monet. Dans l’attente de cette hypothétique rencontre le jeune homme prend ses marques, fait tranquillement la connaissance des voisins et des proches du grand homme. Soudain, au beau milieu du paradis des Impressionnistes, voici, dans l’eau, un corps décapité ! Est-ce celui du prêtre ? d’un artiste ? d’un vagabond ? d’un inventeur génial… ? Détourné de la peinture, mordu par cette énigme, Gilbert Petit-Rivaud se lance dans une folle enquête… Au hasard des boucles de la Seine il va croiser bon nombre de gens plutôt curieux : un gentleman cambrioleur, un savant travaillant à une œuvre révolutionnaire, un ministre de l’Intérieur amateur d’art, un fameux couple d’aubergistes, une Lady bien voluptueuse… Ce roman pas policier mais presque a été conçu comme un engin drolatique pour voyager dans le temps, ses énigmes, ses lieux communs et ses lieux singuliers. Giverny, un Eden propice à la contemplation ; La Roche-Guyon et son château extraordinaire ; la Seine et ses méandres ; les faubourgs parisiens et leurs dangers sont les principaux sites visités par Gilbert Petit-Rivaud, artiste-peintre, enquêteur et cycliste !

Pourquoi avoir choisi ce titre ?
Je ne savais pas dans quoi me plonger et tu m’as conseillé plusieurs titres… J’avais déjà lu deux d’entre eux – “Le Violoniste” de Mechtild Borrmann et “L’atelier des poisons” de Sylvie Gibert -, je me suis donc tournée vers ce troisième livre que je ne connaissais pas.

Qu’as-tu pensé de cette lecture ?
Ce roman est une très belle découverte avec une intrigue plaisante, prenante et immersive, un personnage principal attachant et une écriture agréable et adaptée à l’époque dans laquelle l’auteur nous entraîne. C’est original et nous fait l’effet d’une petite parenthèse dans le temps… Ou d’une visite au musée : C’est d’autant plus appréciables en ce moment !

Last but not least, c’est à moi que revient la lourde tâche de clôturer ce bilan ! Pour cette session, j’ai décidé de me plonger dans la lecture de “Fauves“, un roman d’Eric Mercier paru en début d’année aux éditions de La Martinière

4ème de couverture :
Le cadavre d’un riche collectionneur d’art parisien a été jeté en pâture aux cochons dans une ferme près de Paris. Le commandant Frédéric Vicaux de la brigade criminelle a du pain sur la planche. Ou plutôt des ventres de porcs sur la table de dissection. Fini les vacances ! Alors qu’il tente de trouver de l’aide auprès de son ex-compagne, spécialiste en histoire de l’art, l’enquête va prendre une tournure inédite.
Dans quelles affaires sordides la victime a-t-elle trempé pour être aussi sauvagement assassinée ? Sa fortune cacherait-elle des secrets honteux ? Et sa collection de tableaux fauves, des Matisse, des Vlaminck, des Dufy tous plus précieux les uns que les autres, est-elle vraiment authentique ?
De galeristes véreux en experts corrompus, le commandant Vicaux va plonger dans un milieu de l’art insoupçonné, loin de la lumière et du succès qui auréolent les grands maîtres du fauvisme.

Pourquoi avoir choisi ce titre ?
Par un heureux coup du destin ! Je m’explique : Si je suis évidemment à l’origine des thèmes que je propose pour mon propre Club de Lecture, ce n’est pas pour autant que je sais déjà ce que je vais lire dans ce cadre en vous le dévoilant… Oui, j’aime le challenge et la difficulté, je suis une blogueuse passionnée mais aussi déjantée : Ne l’oubliez jamais ! Je ne savais donc pas dans quel livre me plonger… Jusqu’à la réception d’un mail de l’auteur lui-même, me proposant de découvrir son roman : Si je ne prends pas les services presse, je me suis toutefois ruée en librairie, ravie d’avoir mon titre pour ce Club de Lecture !

Qu’as-tu pensé de cette lecture ?
En voilà un polar passionnant ! L’art a toujours fait partie de mes centres d’intérêt, aussi la fermeture des musées et autres lieux de culture me pèse énormément… C’est d’ailleurs ce qui m’a motivée à proposer ce thème ! Pour autant je ne m’y connais pas tant, et c’est avec plaisir que je me suis laissée happer par cette intrigue comme on admire une œuvre d’art. L’auteur nous propose une intrigue tout à la fois intéressante et enrichissante, mais aussi prenante et captivante, car particulièrement bien pensée et rondement menée. Ajoutons à cela des personnages fort bien campés, des enquêteurs que l’on suit donc avec intérêt, le tout servi par une plume fluide et soigné, efficace et attrayante… Bon moment de lecture assuré !

Et c’est ainsi que s’achève cette session du Club de Lecture Virtuel consacrée à l’art… Au risque de me répéter au gré des bilans, je remercie chacune des participantes pour leur enthousiasme et leur curiosité mais aussi leur inspiration ! Non seulement c’est un vrai plaisir d’animer ce petit Club mais ce n’est rien comparé à celui de découvrir vos belles propositions littéraires !

Ne serait-il maintenant pas le moment de vous dévoiler le thème du prochain Club de Lecture pour accompagner l’arrivée du printemps..? Cela tombe bien justement… Voyez par vous-même :

A demi-confinés mais parés à bouquiner : Plongeons ensemble dans une lecture aux couleurs du printemps pour mieux nous évader !

Vous connaissez le thème… A présent prenons connaissance des petites règles à respecter :

– On s’inscrit par mail jusqu’au 04 avril 2021 à l’adresse suivante : aurelie.deslivresetmoi7@gmail.com
– On bouquine
– On répond aux deux petites questions…
* Pourquoi avoir choisi ce titre ?
* Qu’as-tu pensé de cette lecture ?
Le tout en un maximum de dix lignes transmises par mail à la même adresse au plus tard le 08 mai 2021 !
– On se retrouve le dimanche 16 mai 2021 pour un nouveau bilan… Et un nouveau thème pour la session suivante !

Vous avez le thème… Je suis sûre que vous avez aussi les idées : Ne reste plus qu’à vous inscrire pour vous lancer dans cette nouvelle aventure en ma compagnie ! Dans l’attente de vos mails, je vous souhaite une bonne fin de journée mais aussi de belles lectures… Et surtout : Prenez soin de vous !

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